Versailles e Nizza si qualificano in semifinale

Après sa large victoire face à l’OM (4-1), Nice retrouvera le Petit Poucet de National 2, Versailles, vainqueur de Bergerac aux tirs au but (1-1, 5 à 4 aux tab) pour une demi-finale totalement inédite, qui se déroulera, tout début mars, dans uno stade qui reste à définir.

Ses voisins monégasques, vainqueur d’Amiens (2-0) se déplaceront quant à eux sur la pelouse du vainqueur de Nantes-Bastia, disputé ce jeudi soir.

Il faudra « avversario nota rispetto »a prévenu il presidente Niçois Jean-Pierre Rivère à l’AFP, la rivelazione del tirage au sort dopo la superba qualifica di son équipe face à unéquipe de Marseille surclassée.

Versailles gagne le duel des club dilettanti

Versailles (National 2) a obtenu son billet pour les demi-finales de la Coupe de France en écartant Bergerac (N2) (1-1, 5-4 tirs au but) dans le duel des clubs amateurs, mercredi 9 février, au stade Francis-Rongiéras, a Périgueux.

Sur un terrain hostile, bosselé, l’équipe d’Youssef Chibhi a parfaitement mené sa barque pour imiter Calais (finaliste en 2000), Montceau-les-Mines (2007), Quevilly (2010) et Rumilly (2021), seules formations du 4^e échelon à avoir atteint ce stade de la concorrenza.

Un enroulé tout en douceur d’Inza Diarrassouba (14^e minuto), il premier ma encaissé par Bergerac dans la competizione, avait permis aux Yvelinois de rêver à une qualifica aisée dans ce choc d’amateurs ambieux, qui ont fait honneur au football d’en bas. Plus solides et acceptant volontiers d’être dominés, les Versaillais ont livré derrière le match quasi parfait à l’extérieur, sans paniquer et en repoussant tous les assauts souvent désordonnés’ des hommes’ Lanzel d

Les dix dernières minutes, passées à dix après l’expulsion Christopher Ibayi (79)^e), ont accentué encore la pression locale récompensato à l’ultimo minuto di Axel Tressens (90)^e), décalé sur la gauche, qui a croisé une frappe sur le poteau rentrant de Dan Delaunay, pas inquiété jusque-là. Le défenseur dordognais Kevin Mingoua a échoué lors de la séance de tirs au but.

Bel domine l’OM

Après les graves débordements du 22 août 2021, avec l’interruption de la rencontre dopo l’envahissement du terrain et des coups donnés par somes supporteurs niçois, le retour de Marseille à Nice s’annonit electrique. Il l’a été, mais uniquement sur le terrain, sonnant comme le début d’une réconciliation entre le jeu et les supporteurs.

Devant le sélectionneur Didier Deschamps et son adjoint Guy Stephan, Nice a réalisé un grand match. Christophe Galtier a battu tactiquement Jorge Sampaoli. Et surtout, le trio offensif des Aiglons, Gouiri-Deort-Kluivert, a été impressionnant.

C’est pourtant l’OM qui a ouvert la marque, à la troisième minute, par un but contre son camp du défenseur Melvin Bard, à la suite d’une frappe du Marseillais Cengiz Under. Malgré ce coup du sort, le latéral niçois est resté dans son match. Combatif, the été le véritable ailier gauche des Aiglons qui ont débuté avec trois milieux défensifs. Et un point d’appui solide pour Amine Gouiri, poison de l’arrière-garde olympienne.

Ce dernier, après avoir passé Saliba en vitesse, a effectué un malicieux petit pont sur Belardi, avant d’égaliser et de faire rugir un stade qui n’attendait que ça (1-1, 11^e). Ni les hommes de Galtier, ni le public niçois n’a eu le temps de gamberger. Remis dans le droit chemin, Nice a alors continué à attaquer. Justin Kluivert un été abile. Sa tête piquée a terminé une action parfaite collettivo avec Gouiri et Delort (2-1, 29^e).

Une minute après un but du Marseillais Cédric Bakambu rifiutato per hors-jeu à la 48^e minuto, Justin Kluivert a découragé ses adversaires par une frappe laser croisée de loin (3-1, 49^e). Avant de servir, sur un contre, une pépite à Delort, qui en a profité pour compléter ses belles statistiques (4-1, 62)^e) avec un but et deux pass décisives.

Bien aidé par son trio offensif, Galtier a donc remporté la bataille tactique contre Sampaoli. Après avoir sorti le Paris-SG puis l’OM, ​​​​l’OGC Nice rêve désormais d’une première finale depuis sa victoire de 1997.