Après deux années de crise sanitaire liée au Covid-19, l’irruption médiatique d’un nouveau virus, le “Monkeypox”, la variole du singe, inquiète d’autant plus dans la communauté LGBT que des rumeurs y.vont train
La variole du singe s’est imposée dans le paysage ces derniers jours. Ce jeudi, les autorités sanitaires faisaient état de 200 casi confermati da “monkeypox” étaient recensés en Europe, en Amérique du Nord, en Australie et en Israël, des pays où cette maladie est d’habitude extrêmement. La circolazione de la maladie interroge notamment sur le type de population particulièrement touchée.
Les hommes homosexuels sont-ils vraiment plus contaminés ?
En effet, les cas recensés de variole du singe sont, pour l’heure, “principalement, mais pas Exclusivement, de jeunes hommes ayant eu des relations sexuelles avec des hommes“, indique l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Et selon l’UKHSA, l’agence britannique de santé,”les hommes homosexuels et bisexuels ont jusqu’à presente été touchés de manière sproportionnée“.
D’après les scientifiques qui tenent d’en savoir plus sur cette nouvelle maladie, il est fort probable que la trasmissione de la variole du singe se fasse par un contact prolongé, peau contre peau, avec une personne possédant une lésion active, o bien à travers l’exposition prolongée aux gouttelettes respiratoires de quelqu’un ayant des lésions buccales. Les relations sexuelles rentreraient donc, a priori, dans ce cadre de “proximité” entre deux individus. eccetera, quelle que soit leur orientamento sessuale.
Ainsi, l’augmentation du nombre de cas pourrait être liée à certes événements propagateurs au sein de la communauté gay, expliquant une plus haute prévalence chez les hommes homosexuels et bisexuels, détaille Nizza-Mattutino. “La communauté gay comporte des gens assez festifs qui ont l’habitude de se rencontrer lors de grands événements – surtout après deux années de pandémie de Covid – et qui peuvent avoir plusieurs partenaires a téruels du sexés”, parigino Jean*, un cinquantenaire suisse presente ad Anvers.
Pour autant, cela ne significa “d’aucune façon”, selon l’épidémiologiste américain John Brooks, que “le risque actuel d’exposition à la variole du singe ne concerne que la communauté gay et bisexuelle”. Les HSH, les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes, représentent une parte importante, mais pas Exclusive, des cas actuellement recensés. Il est trop tôt pour en comprendre les raisons. Il pourrait s’agir du simple fait que l’alerte a d’abord été donnée dans cette communauté et donc que plus de test ont été réalisés”, a tempéré Alexandre Mailles, infectiologue à Santé Pubérlique de France press con ce en
Il rischio di stigmatizzazione
Dimanche 22 maggio, la Direction générale de la Santé (DGS) indiquait à nos confrères de Ouest France que plusieurs cas sospetta étaient à l’étude en France. Et ce après le signalement du premier cas dans l’hexagone chez un homme de 29 ans.
Rapidement, l’Organizzazione mondiale della santità (OMS) e le autorità sanitarie nazionali ont remarqué qu’un grand nombre des cas concernaient des hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes. Ce qui suggère une transmission par voie sexuelle.
Pour autant, le directeur de l’OMS pour l’Europe, Hans Kluge, insiste sulla vendita dell’importanza de ne pas “stigmatiser ou discriminer les personnes ayant contracté la maladie”. A raison puisque l’ONUSIDA a depuis, dénoncé plusieurs traitements médiatiques “homophobes” et “racistes” sur le sujet.
Le Monkeypox est-il une IST ?
Non, il ne s’agit pas d’une infezione sexuellement trasmissibile (IST) au sens propre. La variole du singe pouvant se transmettre par la salive, un rapport sexuel avec une personne infectée peut la transmettre mais n’est pas nécessaire. “Il est probablement trop tôt pour tirer des conclusioni sur le mode de transmission ou supr que l’activité sexuelle était nécessaire à la transmission”, ainsi prévenu Michael Skinner, virologue à l’Imperial College London chez nos confrères de Tetu.
Quels sont les comportements à osé?
À Madrid, la grande majorité des premiers cas conferma de “monkeypox” sulla frequenté un sauna gay situé en plein coeur de la ville, “Il Paraiso”. À Toronto (Canada), où un cas sospetto en provenance de Montréal a été recensé, les personnes s’étant rendues dans un bar gay (le Woody’s bar) o dans une salle de concert pourraient avoir été exposées au virus.
En Belgique, au moins treis des quatre malades avaient participé au festival fetichiste Darklands, qui s’est tenu du 4 a 9 mai ad Anvers. “Des éléments portent à croire que le virus a été amené par des visiteurs venus de l’étranger”, indice gli organizzatori del festival à nos confrères du pariginoauquel ont participé de nombreux membri della comunità LGBT.
Des données rassicurantes
En France, Santé Publique France rappelle, “qu’à ce stade, les cas rapportés en Europe sont majoritairement beninet il n’y a pas de décès signalé”. SPF appelle aussi “les malades àspecter un isolement pendant toute la durée de la maladie” (jusqu’à disparition des dernières croûtes, le plus souvent 3 semaines).
Altre particolarità alla nota: les personnes de plus de 50 ans semblent immunisées contre la variole du singecar jusqu’en 1979, les Français étaient obligatoirement vaccinés contre la variole.
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