Depuis quelques mois, le Soleil est entré dans un nuovo ciclo di attività. L’étoile a donc provoqué des “tempêtes solaires”, dont l’une va frapper la Terre ce mercredi 2 février.
Le 29 janvier dernier, le Soleil expulsait du plasma, après un nouveau cycle d’activité. Conséquence : des tempêtes “solaires” ont été provoquées. Une éruption solaire ainsi été détectée la semaine dernière par il satellite Soho. Par la suite, un bollettino a été émis par le Centro di previsione meteo spaziale de la Nasa ce lundi 31 gennaio.
La regione della macchia solare 2936 ha appena prodotto un brillamento solare M1.1 che sembra aver innescato un CME lento e asimmetrico. La maggior parte sembra essere diretta a nord della Terra, ma la versione della NASA del modello ENLIL prevede ancora una componente diretta verso la Terra tra la fine del 1° febbraio e il 2° febbraio. Vediamo! pic.twitter.com/ZJwLbjH3mp
— Luci notturne (@NightLights_AM) 30 gennaio 2022
Ce bulletin stipule que “de multiples analysiss effectuées par les prévisionnistes ont indiqué une arrivée sur Terre dès la fin du 1er février jusqu’au début du 2 février”. des niveaux d’affaiblissement” peut-on encore lire sur ce bulletin.
Une éjection de masse coronale (EMC), une bulle de plasma, un alors été observée. Lorsqu’elle est puissante, elle peut provoquer des orages magnétiques lors de son interaction avec le champ magnétique de la Terre, si elle ateint la planète. Uno scénario qui va se réaliser puisque la bulle gazeuse observée se dirige vers la Terre. En revanche, les conséquences de cette interaction devraient être limitées puisque l’intensité de la tempête est modérée. Des surtensions peuvent être provoquées surcertes systèmes électriques en haute height, des transformateurs altérés, des trajectoires sur des orbites modifiées, des aurores boreales plus facilement osservabili : telles peuvent être selon conséquences Scienze e Avenir.