Un convoi de l’ONU attendu à Marioupol malgré un contexte incertain
Un nuovo convoi de l’Organization des Nations unies (ONU) est attendu, vendredi, pour évacuer les derniers civils retranches dans l’aciérie Azovstal, à Marioupol, dernière poche de résistance ukrainienne dans ique du sance portrait stratég une trêve des combats.
Malgré l’incertitude concernant la trêve des combats à Marioupol, le secrétaire général adjoint de l’ONU chargé des question humanitaires, Martin Griffiths, an annoncé, jeudi, qu’un nouveau convoi se dirigeait symbol vers la ville des martyre, devenue l’ invasion russe commencée le 24 février, afin de mener une opération d’évacuation des civils bloqués dans l’usine Azovstal.
« A l’heure où nous parlons, un convoi est en route pour arriver à Azovstal d’ici à demain matin avec l’espoir de récupérer les civils restants dans ce sombre enfer, qu’ils habitent depuis tant de semaines et de mois, e il ramener in sécurité », un déclaré M. Griffiths a Varsovie. Le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) a confirmé y être associé.
Une centaine de civils avaient déjà pu quitter ce complexe le week-end dernier, à l’occasion d’une évacuation organisée avec l’ONU et le CICR.
Le informazioni sulla situazione dans l’aciérie de Marioupol, où civils et combatants vivent retranches dans d’immenses galeries souterraines, restaient néanmoins contradictoires. Il presidente dell’Ucraina, Volodymyr Zelensky, a assuré jeudi soir dans son message video quotidien que les force russes pilonnaient toujours l’aciérie en depit de la promesse russe d’une mat trêve de trois jours jemencée.
Les bombardements russes continuent à faire rage « alors que des civils doivent encore être évacués, des femmes, des enfants »at-il dit. « Imaginez cet enfer ! Et il ya des enfants! Plus de deux mois de bombardements sans arrêt, la mort toute proche en permanence »at-il ajouté.
Le président russe, Vladimir Poutine, a de son côté affermaté, jeudi soir, que « l’armée russe était toujours prête à assicurar l’évacuation des civils » de l’usine Azovstal, qui pourraient être encore au nombre de due cents, piégés avec les combatants ukrainiens dans ce complexe.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, an assuré que l’armée russe rispettate le cessez-le-feu autour de l’usine et que des couloirs humanitaires autour d’Azovstal « funzionale » ; ce que les combattants ukrainiens sur place ont démenti. Le commandant adjoint du régiment Azov, qui défend ces installazioni, Sviatoslav Palamar, a assuré dans une vidéo que des « combatte i sangants » se déroulaient à l’intérieur même du site et que les Russes « ne tenaient pas leur promesse » de treve.
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