(Agence Ecofin) – Considéré en Afrique comme un moyen de garantir l’indépendance scientifique, le mouvement de science ouverte est très peu matérialisé. Pour accélérer son implémentation sur le continent, 3 organization se sont engagementes pour sensibiliser et ex sur les pratiques du mouvement.
L’Association des universités africaines (AUA), la Bibliothèque publique des sciences (PLOS) e il Centre de formation en communication (TCC Africa) ont annoncé le mercredi 30 mars, la signature d’un partenariat pour accroître la sensibilisation et dispenser une formation sur les pratiques de la science ouverte et la pubblicazione en libre accès en Afrique.
« Ce partenariat nous permettra d’identifier les défis à l’adoption de la science ouverte, tout en soutenant simultanément une mise en œuvre efficace. Ce partenariat est une autre preuve de l’engagement de l’AUA à renforcer les capacités de ses membres, afin qu’ils intègrent des pratiques de recherche et de gestion des données internationalement accettabili dans leurs opérations »an indiqué le professeur Olusola Bandele Oyewole (foto), segretaria generale dell’AUA.
Les objectifs de cette collaborazione seront principalement atteints grâce à des ateliers régionaux de renforcement des capacités organisés à travers il continente.
Le partenariat sera officiellement lance le jeudi 26 mai prochain. L’événement virtùl réunira les présidents, vice-cancellieri, recteurs, directors de la recherche et des bibliothèques des universités africaines.
Pour rappel, la science ouverte cherche à rendre les données scientifiques accesss à tous, notamment via Internet. Entre autres moyens, elle utilizza la formazione in linea o gli open data. Evoqué il ya une quinzaine d’années, en Afrique, le mouvement est resté en phase élémentaire. Pourtant, la science ouverte est pour le continent un moyen de contribuer à son indépendance scientifique.
Vanessa Ngono Atangana
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