L’agence de notation S&P Global Ratings a indicé mardi 26 juillet qu’elle n’envisageait plus de relever à moyen terme la note de l’Italia dopo l’emissione del primo ministro, en abaissant la prospettiva d’evoluzione della nota d’ debito del pagamento positivo à stabile. La nota dell’Italia est, elle, maintenue à BBB/A-2.
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La prospettiva ormai stabile «riflette les risques pesant sur l’économie et les finances publiques italiennes, d’un ralentissement o d’un changement de cap dans la mise en œuvre de réformes critiche», sottolinea l’agenzia. Le premier ministre Mario Draghi a remis jeudi sa émission. Le elezioni legislative si terranno il 25 settembre. S&P évoque égamente «la combinazione di una forte inflazione e dei rischi per le approvazioni energetiche dell’Italia».
Ces risques, cependant, «sont en partie compensés par le riche sector privé diversifié de l’Italie, son appértenance à l’Union économique et monétaire (européenne) et la solidità del bilan extérieur de l’économie». S&P avait, en octobre, relevé la prospettiva à positive, segnalante alors qu’elle pourrait relever la note à moyen terme. Le départ de Mario Draghi arriva au pire moment pour l’Italie, qui doit faire à l’impact de la war in Ukraine, réduire sa dépendance au russe gaz et mettre en route des réformes difficilis vue de l’octroi des funds du European recovery Piano.
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