Le point sur les meurtres de civils constatés dans les zones riprende par l’armée ukrainienne aux troupes russes
A mesure que les troupes russes se replient, comme annoncé des régions de Kiev et de Tchernihiv, dans le nord de l’Ukraine, avec pour objectif de se redéployer vers l’est, les force ukrainiennes ont repris des dizaines, al de sités des témoignages font état de meurtres de civils dans certees de ces zones. Démentant toute responsabilité, Moscou a accusé, pour a part, les autorités ukrainiennes de préparer des « mises en scène » de civils tués dans plusieurs villes pour faire condamner la Russie.
Irpine a été reprise à la fin du mois de mars per le forze ucraine. D’après le maire, Oleksandre Markouchine, 200 à 300 civili ont été tués avant la reconquête de la ville. I giornalisti dell’agenzia di stampa Reuters ayant pu y pénétrer, mardi 29 mars, ont vu des troupes ukrainiennes patrouiller parmi des bâtiments en ruine, ainsi que les corps d’un vieil homme et d’une femme lesant ru
Irpine a été pilonnée par l’armée russe dans les tout premiers jours de la guerre déclenchée par Mosca le 24 février et est considérée comme le dernier verrou avant Kiev en arrivant de l’ouest. Mi-mars, un giornalista americano è stato tué par balle et un autre blessé. La ville est, depuis, fermée à la presse.
A Boutcha, au nord-ouest de Kiev, près de 300 personnes ont dû être enterrées « dans des fosses communes », a Raconté à l’Agence France-Presse (AFP) figlio di Anatoly Fedorouk. On ne pouvait pas dans l’immédiat déterminer la cause de la mort de ces personnes, mais au moins deux d’entre elles présentaient de larges blessures à la tête. La peau des visit avait un aspetto cireux, laissant penser que les cadavres étaient là depuis au moins plusieurs jours.
Selon le maire de la ville, « toutes ces personnes ont été abattues, tuées, d’une balle à l’arrière de la tête »vecchio assicurare-t-il ajoutant que parmi les habitants de sa ville ayant péri il ya « des hommes et des femmes de tous âges ». Un giornalista dell’AFP ya vu les cadavres d’au moins vingt hommes en vêtements civils. L’un des hommes a les mains liees dans le dos avec un morceau de tissu blanc, un passeport ukrainien ouvert posé sur le sol à côté.
I corpi di casa del villaggio di Motyzhyn, celui de son mari, de leur fils et deux autres hommes ont été découverts dans cette localité à l’ouest de Kiev, ont constaté, lundi 4 avril, des journales de l’AFP.
La polizia a montré à des giornalista quatre corps, dont celui de la maire, à demi enterrés dans une fosse creusée dans une forêt de pins bordant la maison de la maire du village, et le corps d’un autre homme gisant’au fond un petit puits dans le jardin. Selon la police, les cinq personnes avaient les mains liées dans le dos.
La maire, Olga Sukhenko, âgée de 50 ans, son mari et leur fils, avaient été enlevés par les force russes le 24 mars, selon la même source. Des habitants du village ont déclaré à l’AFP que la maire et son mari avaient refusé de collaborer avec les force russes.
L’organizzazione Human Rights Watch a égallement dénoncé, dimanche 4 avril, des exations de militaires russes contre des civils assimilables à des «crimini di guerra» dans la région de Tchernihiv, disant avoir recensé plusieurs cas de « delle violazioni lois de la guerre » (violazioni, esecuzioni sommaires, violenze, minacce, saccheggi).
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