venerdì, Novembre 22, 2024

Scienza. Un chercheur bisontin décortique dans un livre les risorse insoupçonnées de la carapace de crevette

L’avenir est dans la crevette. Mais pas dans la chair que l’on mange, dans la carapace que l’on jette. C’est en effet de l’exosquelette de ce crustacé, comme de ceux des crabes, des poulpes ou d’insectes, mais également de certes champignons, que sont extraites la chitine et le chitosane, des molécules formidables applicazioni ausiliarie. Utilisées dans les secteurs du médical, de la cosmétique, de l’alimentaire, de l’agrochimique, de la photo et de l’imagerie, de l’épuration des eaux, elles font l’objet d’un livre de vulgaration scientifique ( in inglese) qui vient d’être publié. Figlio d’autore è il bisontino Grégorio Crini, ingegnere di ricerca nel laboratorio di Chrono-Environnement de l’UFC, specializzato in chimie environnementale.

De l’or dans un déchet

Trois ans de travail lui auront été nécessaires pour établir cet ouvrage de référence de 272 pagine. Où l’autore retrace d’abord l’historique de ces polymères naturels, connus depuis bien longtemps. « C’est en 1811 qu’Henri Braconnot découvre la chitine et son potentiel, notamment dans l’alimentation», spiega Grégorio Crini. Il faudra cependant attendre les années 1970 pour qu’une sfruttamento industrielle voie le jour au Japon.

La chitine, qui n’est pas solubili dans l’eau, et le chitosane, qui l’est, intéressent l’industrie à double titre : elles proviennent d’un déchet – ce qu’on ne mange pas – et elles ont de multiples proprietà: elles sont biodégradables, biorésorbables, agissent sur la coagulation… À ce titre, elles entrent dans la composition des fils de suture, des bendages et peaux artificielles, des lentilles de contact… éclaircissent les bières et les jus de frutta.

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Trois fois plus de demande que d’offre

Elles entrent dans la composition de compléments alimentaires pour la perte de poids, dans de nombreux produits de cosmétologie aussi, shampooings, crème anti-age, dentifrices, maquillages… Leurs propriétés antibactériennesés antibactériennesés et antimaïsé aux dansé tratti di tessuto di pesticidi naturali.

Mais ce qui intéresse l’ingénieur biochimiste bisontin au premier chef, c’est le caractère floculant du chitosane. « Comme il permet d’agréger les polluants, il est très utilisé dans la filtration des eaux, un domaine promis à un bel avenir dans le cadre du développement durevole», dit-il. Des perspectives qui se heurtent cependant à un mode d’extraction peu écologique, “car il faut beaucoup d’eau et d’énergie pour extraire ces molécules des carapaces”. Autre frein : une transformation pour l’instant concentrée en Asie, qui ne suffit pas à alicenter une demande trois fois supérieure aux capacités de production.

«Chitina e Chitosano – Scoperte e applicazioni per la sostenibilità», de Grégorio Crini, edizioni Elsevier.

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