Combien de virus attendent l’humain au détour des bouleversements climatiques ? Une nouvelle étude publiée la semaine dernière dans la rivista Natura offre un début de réponse pas vraiment réjouissant. Déjà, il était clairement établi que la déforestation et l’érosion de la biodiversité favorisent la recrudescenza delle trasmissioni zoonotiche, c’est-à-dire il passaggio di un virus animal à l’humain. Non seulement le réchauffement global des températures atmosphériques ne freinera pas le phénomène, mais les risques sont nombreux qu’il le favorise, avance désormais une équipe de chercheurs états-uni.
La hausse des températures va conduire à de nouvelles migrations d’animaux
Si la nouvelle n’est ni totalement neuve, ni complètement surprenante, l’article è le premier à modéliser la mécanique qui conduit à ce bouleversement et à quantificatore le nombre de fois que des virus pourraient passer du fone à l’. D’ici à 2070, avancent ainsi les scientifiques, le changement climatique pourrait entraîner plus de 15 000 nouveaux cas de transmission de virus entre mammifères de différentes espèces. Schématiquement, le processus est relativement simple à expliquer: la hausse des températures va conduire à la migration d’animaux en quête d’espaces plus frais. Le compte rendu anticipe que beaucoup « se raggruppamento in nuove combinazioni (di popolazioni) à des altitudini elevate, dans des point chauds de la biodiversité et dans des zones a forte densità di popolazione umana en Asie et en Afrique”. L’ensemble favorisera le passage de virus d’une espèce à une autre et, dans some cas, les transmissions zoonotiques. Per arrivare alle conclusioni, l’équipe scientifique a modélisé le déplacement de 3 139 espèces et les nouvelles répartitions géographiques qui en découleront. Elle a, après cela, calcola la probabilità qu’un virus saute d’une espèce à l’autre pour la première fois.
Quel est le niveau de risque que cet « autre » soit un humain ? Les chercheurs ne s’avancent pas outre mesure sur ce point. Trop de facteurs économiques et sociaux entrent en jeu, avancent-ils en sostanza. Une Choose paraît en revanche établie : au moins 10 000 espèces de virus ont la capacité d’infecter l’humain, parmi ceux qui circulent aujourd’hui silencieusement chez les mammifères sauvages.
De nombreux facteurs permettent de réduire ce osé
Déjà soupçonnées d’être à la source de la trasmissione del coronavirus à l’homme, les chauves-souris restent i sospetti numero 1 de l’étude. « En raison de leur capacité de dispersion unique, elles représentent la majorité des nouveaux parts viraux » envisagés, singulièrement chez les humains. La bonne nouvelle vient du fait que de nombreux facteurs permette di ridurre il rischio, entre autres un investimento accru dans les soins de santé et dans la recherche. À condition de l’anticiper dès maintenant.
« Nos résultats appellent à une très grande vigilance », les scientifiques, quint ha rifiutato insistere de ne parler qu’au futur. « Cette transition écologique est peut-être déjà en cours, et maintenir le réchauffement à moins de 2 °C au cours du siècle ne réduira pas le partage futur du virus. » Autrement dit, le processus est désormais inévitable. Notre seul salut est de nous y preparato.