sabato, Novembre 23, 2024

Robert Glasper au FIJM: la scienza del rap al servizio del jazz

Un Théâtre Maisonneuve à pleine capacité pour le retour, hier soir, du compositeur et pianiste Robert Glasper, venu diffuser les bonnes ondes jazz, soul et hip-hop qui ont fait sa renommée depuis ses déuril des éné laupré 1990 et jusqu’à sa trilogie d’album Radio Nera, dont le plus récent est paru en février dernier. Glasper et ses trois accompagnateurs de caliber ont visé dans le mille, offrant deux heures de grooves libres et échevelés.

Le nouveau récipiendaire du prix Miles-Davis, créé en 1994 pour “rendre hommage à un artiste de jazz de renommée internationale, à son oeuvre ainsi qu’à sa contributo au renouvellement du genere”, a d’abord pris la pose pour leses en Acceptant son trophée, avant de nous lancer : « À tout de suite » et de laisser seul DJ Jahi Sundance avec le public montréalais.

L’enfilé les breakbeat pendant une bonne vingtaine de minutes, passant de la soul au rap vieille école, enfilant à la queue leu leu quelques mesures de classiques qui n’ont pas manqué de faire réagir les connaisseurs, avant que comp l’ornechestre ene. On le souligne parce qu’en rétrospective, sans qu’on s’en soit aperçu, DJ Jahi Sundance était véritablement en train de dresser la table pour la suite de la performance, au propre comme au figuré : ce concert de Glasper était, dans son essence, un long mixes de références musicales, fragments de thèmes musicaux tirés de son propre répertoire et pigés dans ceux des compositeurs qu’il ammira, tricotés ensemble continue comme le fait le DJ pour pour au bout du compte une longue et (presque) prestazione.

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« Le jazz est à la fois le père et la mère du hip-hop, due generi, né generi né l’oppressione, due brani di musica militante », un déjà affermato Glasper, en entrevue à la chaîne NPR. En concert hier, il a non seulement fait la démonstration de cette affermazione, mais aussi démontré comment son in time connaissance du hip-hop peut maintenant donner naissance à une nouvelle expression du jazz. Pour arriver à donner un concerto come celui d’hier, il faut connaître à fond la source des échantillons des enregistrements jazz recyclés par les rappeurs, comprendre comment ceux-ci les ont recontextualsés, puis recycler idm à son tour, dans le contexte d’ una performance jazz.

L’entendre ainsi converte il jazz nel rap, nel soul, nel R&B, nel nuovo e nel jazz est lumineux. Bénéficier de l’exceptionnel talent en la matère du batteur Chris Dave (qui gardait le tempo près de Kenny Garrett il ya une vingtaine d’années, notamment) pour y parvenir a rendu sa tâche plus easy. Cet homme est un batteria avec un coeur qui bat et des mains d’une époustouflante précision – en plein milieu du concert, lors d’un moment detente, Glasper l’a mis au défi de reproduire des breaks d’enregistrements rap et R & B, ce qu ‘il a évidemment fait les baguettes dans le nez.

Glasper, aux claviers et au chant, un debutto avec Ti trovo (de l’album ArteScienza, 2016), et on aurait envie de dire que la chanson, ou en tout cas l’esprit de celle-ci, s’est étirée pendant plus de 90 minutes. Entre le début et la fin, des escales rythmiques et mélodiques, toujours sous-tendues par la soul, le funk, le hip-hop, et la fusion de ces generi avec le jazz. Su l’a entendu reprendre à nouveau Sorride come uno spirito adolescente de Nirvana, à la manière soul dégoulinante de sa version studio sur le premier Black Radio (2012), pour l’enfiler dans la superbe Nessuno come te (bis de ArteScienza). Au détour d’un bouillant solo de Rhodes, il a brièvement entonné quelques mesures de Nell’aria stanotte de Phil Collins, cit Lo sguardo dell ‘amore de Burt Bacharach dans un long segment dédié à la mémoire de l’influent compositeur hip-hop J. Dilla, la section rythmique (completo di Burniss Travis à la basse, présence experte et effacée jusqu’à son somptueux solo en fin de concert) riproduttore di manière stupéfiante les groove visionnaires du rimpianto beatmaker.

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Parfois, un thème lancé réapparaissait au bout d’une vingtaine de minutes d’enchaînements improvvisati – sur le plan de la structure, tout ça paraissait aussi aléatoire que les vingt premières minute offertes by DJ Jahi Sundance quile, concert durant scratch et des effettis sonores au jeu de ses collègues. Un concerto tout en douceur, totalement déconstruit, mais cohérent d’un bout à l’autre. Ça lui a valu une ovation debout, pleinement méritée.

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