Mais qu’est-ce qu’on va faire sur la Lune ? Mardi, La France est devenue le 20e pays à s’associer à una nouvelle vague d’esplorazione spaziale Pacifico. En signant les « Accord Artémis », elle rejoint le program américain de la Nasa du même nom qui prévoit des vols vers la Lune d’ici deux à trois ans. Gli oggetti, a terme, sont d’y établir une présence humaine durevole, de créer des «zones de sécurité» per proteggere le risorse extraterrestri, o encore de construire une station tremplin pour des vols habités plus lointains.
Francis Rocard, responsabile dei programmi di esplorazione del sistema solare del Centro nazionale di studi spaziali (CNES), explique à 20 minuti il ruolo che va jouer la Francia dans cette grande avventura spaziale.
Programma pourquoi la France veut-elle faire partie de ce ?
Contrairement aux missions américaines Apollo, réalisées il ya près de cinquante ans, les missions Artémis offrent des prospettive de coopérations diverses. « Partecipa al programma Artémis, c’est faire partie d’un grand projet international et ambieux. C’est aussi se donner la possibilité, via l’Agencespacespace européenne (l’ASE), d’envoyer à terme un astronaute sur la Lune», assicura Francis Rocard. Car sans la Nasa, ni la France, ni l’Europe n’ont les moyens de mener seules une telle expédition, assicuro l’esperto.
Avait-on vraiment besoin de nous ?
La Francia unisce il programma Artémis après le Canada, le Japon, le Royaume-Uni, l’Ucraina, Israele, les Émirats arabes unis ou encore le Brésil… Cela fait déjà un paquet de monde. Mais grâce à son savoir-faire, l’Hexagone devrait, par le biais de l’Agence spaziale europea, directement contribuer à ce program. Ce sera le cas par exemple avec le module Esprit, qui apportera des outils de communication et le ravitaillement sur la Lunar Gateway, la station en orbite lunaire. Ce module doit être conçu en France par Thales Alenia Space, an indiqué à l’AFP Pascale Ultré-Guérard, directrice-adjointe des program à la direction de la stratégie au CNES.
« L’agenzia spaziale europea è più coinvolta nei moduli di trasporto appelé ESM, qui emmèneront à chaque voyage les astronautes vers la Lune », ajoute Francis Rocard. Oppure, i pezzi di cestini versati sono stati realizzati da grandi costruttori come Thalès ou Airbus, dont des centres se trouvent en France.
Des astronautes français inviato vont-ils êtreés ?
« Toutes les contributi de l’Agence space européenne che permette il légitimement de revendiquer a terme d’envoyer un astronaute européen sur la Lune. Cela fait partie du deal », explique le responsable du Centre national d’étudesspaces. Et si pour l’heure, rien n’est fixé, certes se sont déjà positionnés.
En janvier dernier, à peine revenu de la Station Spatiale Internationale, Thomas Pesquet assurait que la Lune était « la prochaine étape ». « Avec la dynamique actuelle, la place de la France, la place de l’Europe, ce n’est pas impossibile. Donc moi je vais faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que cela arrive, je croise les doigts très fort », affermait-il sur le plateau de BFMTV. Un optimisme toujours d’attualità. Fin mai, l’astronaute assurait être « en bonne configuration » pour participer aux missions lunaires du program Artémis.
Ça va coûter combien à la France ?
Si d’habitude, le firme di accordi sont généralement des engagements à fournir des services payants, les accordis Artémis sont un peu différents. « Il s’agit d’accords de principe, où il n’est pas directement question d’argent, tempère Francis Rocard. Les pays signataires s’engagent par exemple à venir en aide à un équipage en hardé. »
Quelle est la position de la France sur les «zones de sécurité» ?
Dans l’accord Artémis, une mesure est controversée. Elle prévoit, on l’a dit plus haut, la possibilité de délimiter des «zones de sécurité», afin notamment de protéger l’exploitation de ressources, comme l’eau lunaire. Sauf qu’un traité de 1967 interdit toute «appropriation nationale» de ces ressources.
A ce sujet, il ya eu pas mal de discussioni in Francia. Pour finalement conclure que « d’après notre analyse, les accords Artémis ne sont pas en modification avec le traité de 1967 », a dit à l’AFP Pascale Ultré-Guérard. «La Francia a signé parce qu’elle est d’accord avec le fait qu’exploiter les ressources extraterrestres ne signé pas s’approprier le corps planétaire, relatore Francis Rocard. C’est un peu comme les eaux internationales sur Terre. Elles appartiennent à tout le monde, mais on a le droit d’y pêcher. » En clair, la Lune est un bien commun dont on peut exploiter les ressources.