“Una edizione eccezionale”, avait d’emblée prévenu Marie Drucker, l’animatrice de la soirée du 23 juin organisée dans le grand amphi de l’Unesco pour la remise des prix “Women in Science” – prix international Pour les femmes et la science. L’organizzazione des Nations unies per l’educazione, la scienza e la cultura. Mais cette année, il s’agissait de rattraper trois années perturbées par la crisi sanitaria.
C’est donc à… pas moins de 45 femmes scientifiques que ces prix ont été décernés en une seule cérémonie, dont 15 pour le prix principal au titre des années 2020, 2021 et 2022. “Ce soir, Paris est la capitale mondiale de la science au féminin”, s’est exclamé Jean-Paul Agon, président de la Fondation, rappelant que ce program “était pionnier en 1998”, l’année de sa création. Car les femmes étaient alors les genitori pauvres de la ricerca scientifica. Et elles le restent.
Cinq lauréates du prix ont ensuite reçu un Nobel
Seul un chercheur sur trois dans le monde est une chercheuse, indiquent le statistiche dell’Unesco, mais elles ne sont plus que 10% dans l’intelligence artificielle. Et une fois lancée, leur carrière est loin de suivre la même trajectoire que cell des hommes: elles n’occupent que 14% des hautes responsabilités académiques en Europe, selon la Commission européenne, et ne. ne reçoicientique 4%. Cinq laureates du prix internazionale Pour les femmes et la science ont d’ailleurs été consacrées par la giury du Nobel, dont la Française Emmanuelle Charpentier, lauréate du Nobel de chimie nel 2020, inventrice avec l’Américaine Jennifer Doudna des “ciseaux moléculaires” qui permettent de couper l’endroit p.ADN
“Les femmes scientifiques touchent les salaires les plus bas et lèvent beaucoup moins d’argent que les hommes pour le financement de leurs recherches”, a souligné dans son discours la professeure Edith Heard, lauréate 2020 pour l’nomexurope, s de toutes les lauréates distinguées cette année, trop nombreuses pour s’exprimer chacune à son tour. Cette Britannique d’origine grecque, devenue Professeure au Collège de France, dirige aujourd’hui – en Allemagne – le Laboratoire européen de biologie moléculaire, une structure internationale de recherche composée de 24 pays. “Nous sommes toujours une minorité et cela doit changer, a martelé cette femme au parcours brillant. Il n’y a plus de temps à perdre.”
Une astrophysicienne française dans la promozione
Une Française, l’astrophysicienne Françoise Combes, fait partie de cette promozione fuori norme. Ses recherches portent sur la naissance et l’évolution des étoiles et des galaxies et le rôle des “trous noirs” supermassicci dans l’espace. Titolo della sedia “Galaxies et cosmologie” au Collège de France et astrophysicienne à l’Observatoire de Paris, elle se demande comme beaucoup d’autres humains “d’où nous venons et où nous allons”.
Des travaux remarquables comme ceux de toutes les autres chercheuses du Rwanda, de Cuba, du Sénégal, du Liban ou de Chine, que leurs projets concern la recherche fondamentale dans l’informatique, les nanotechnologies ou’ les lausciences neurovas fièvre dengue et les maladies infectieuses . De tous leurs travaux dépendront demain la santé humaine, la qualité de l’eau sur notre planète et le niveau de consommation énergétique de nos ordinateurs. Quand elles sont montées sur scène, la salle, subjuguée, leur a réservé une ovazione rarement vue dans cette enceinte.
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