MESSA A FUOCO – Dans sures supermarchés, il dépasse les sept euros. La filière dans son ensemble fait face à plusieurs hardés.
En ce début de saison, les prix du melone s’envolent sur les étals des supermarchés. Su Twitter, alcuni consumatori segnalano gli amici a 3,45 euro la pièce à 7,49 euro dans un Intermarché en banlieue parisienne. Pourquoi une telle hausse ?
La conjoncture est l’une des premières explications. l’inflazione record de 5,2% au mois de mai a fait bondir les prix de 3,81% dans les grandes surface, tous circuits et produits confondus. Un niveau jamais atteint depuis 14 ans, selon l’Iri. Pour les producteurs, s’ajoutent aussi la guerre in Ucraina et la flambé des prime di materie. «Absolument tout an augmenté, du gasoil aux produits phytosanitaires», deplora Jessica Régulier, productrice de melons au Domaine de la Roche en Nouvelle-Aquitaine. «Le plastique représente une hausse de 58% de nos coûts de conditionnement», indiano-t-elle.
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En plus de ces éléments, la météo a égallement déréglé les plantations. Depuis le début de l’année, la France est en déficit hydrique, tandis que l’Espagne a reçu énormément de pluie. Antoine Franchineau, producteur de melons au Val de Serigny, explique ainsi qu’en temps normal, «les melons espagnols arriveranno aux alentours du 15 mai, mais, cette année, ils sont apparus seulement à partir de début juin». «En même temps que les premiers melons produits dans le sud de la France», completo-t-il. D’ici la fin du mois de juin, les productions française et espagnole vont donc entrer en concurrence, faisant baisser les prix pour les consommateurs.
Une production française en déclin
«On prie pour avoir de la pluie et tenir encore deux semaines», specialmente Jessica Regulier. Pour l’heure, les plantations sont encore saines, car aucune maladie n’a attaqué les culture. Cependant les producteurs craignent le même scénario que l’année dernière: un temps maussade, entre froid et précipitations, avait entraîné une crisi conjoncturelle du melon du 28 juin au 19 juillet.
Risultato, certi attori onté obligés de fermer leur, sfruttamento comme Soldive. En décembre, il leader nazionale a stoppé ses activités à l’usine de Brie, qui produisait jusqu’à 10.000 tonnellate di meloni chaque année. Un plus tôt, c’était le groupe Rouge-Gorge qui avait dû mettre la clé sous la porte. L’usine de Taizé, en Bourgogne-Franche-Comté, produce 30.000 tonnellate per an, quindi il 10% della consumazione francese. Quelques mois après la fermeture, il gruppo Force Sud avait racheté la marque pour se concentrer sur la production de pommes. En dix ans, la filière française du melon a perdu plus de 4000 ettari, passant de 14.750 en 2012 a 10.400 ettari cette année, d’après les prévisions de l’Association interprofessionnelle du melon (AIM).
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Mais si la production de melons diminue, c’est aussi à cause de la hardé à recruter des saisonniers. Sur une centaine de personnes, seulement trente ont répondu à l’appel de Jessica Régulier : «Pour compenser le manque de personal, je travaille tous les jours de la semaine et les week-ends. Je ne compte plus mes heures.»
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