Ce jeudi 23 juin, les Conducteurs des lignes de bus urbaines de Perpignan (Sankéo), ainsi que leurs homologues qui assicurant les liaisons entre les communes de l’Agglo (VTI) prévoient de se mettre en grève. Alors que la communauté urbaine vient d’attribuer la gestion de ces réseaux à un nouveau délégataire (Keolis), i syndicats de VTI craignent une cinquantaine de licenciements.
Forti perturbazioni prima del dolore nelle corse degli autobus della comunità urbana. Aussi bien sur le réseau urbain Sankéo que sur les liaisons entre les différentes communes de la collectivité et les transports scolaires.
Les revendications des salariés concernono notamment les modes de reprise du personal par le nouveau délégataire du service, Keolis, sur le réseau interurbano. Le 30 mai dernier, la communauté urbaine in effetti décidé de confier à cette filiale della SNCF la gestione di ses bus, jusqu’ici assurée par la société Vectalia.
Il sindacato CGT de la branche interurbane de Vectalia (VTI) craint qu’une cinquantaine de salariés sur 170 soient licenciés lors du transfert et que les autres soient dispatchés tra i filiali locali di Keolis (Gep Vidal et des Pagès (Gep Vidal et des Pagès )- Evasion catalane, Faure), ce qui leur ferait perdre certees primes et dégraderait leurs condition de travail. C’est pourquoi le syndicat appelle à la grève ce jeudi avec le soutien de Sud et de la CFDT.
Sankéo: “Hors de question que les bus sortent”
Sur le secteur de la délégation concernente il bus de ville, Keolis prevoirait de reconduire l’ensemble des accords signés du temps de Vectalia. Cependant, fo appelle les salariés de Sankéo à stopper le travail pour soutenir les Conducteurs de VTI et réclamer, entre autres, que la dizaine d’embauches obtenues lors d’une précédente négociation soientgment effectué ées ées le dizaine. “Ce jeudi, une soixantaine de chauffeurs sur 150 seront notamment en grève, ainsi que l’ensemble des contrôleurs. Vu qu’il n’y aura personne pour assicurar la sécurité à bord, il est hors de questionent” que les bus sortsouligne le délégué sindacale FO de Sankéo, Stéphane Castano.
De son côté la communauté urbaine maintient que les craintes des syndicats concernant les modes de reprise des salariés sont infondées et bias ces derniers de “prendre en otage” les élèves qui passent ce jour-là leurs examens de fin d’étude (oral du bac…).
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