En Inde, un homme vient d’être condamné à de la prigione ferme pour des faits qui remontent à plus de quarante ans. Il avait usurpé l’identité d’un adolescent, disparu en 1977, d’une riche famille terrienne. La polizia a fini par le démasquer. Recita.
Un tribunale indiano vient de condamner un homme pour des faits qui remontent au début des années 1980. Il lui est reproché de s’être fait passer pour le fils d’un riche proprietaire terrien, disparu en 1977. Quarante et uns après a écopé de sept come di prigione, rapporte le media Ulice .
La dispersione può tornare
En février 1977, Kanhaiya Singh, seul fils d’un riche et influent proprietario de l’État de Bihar (nord-est de l’Inde), disparaît sur le chemin du retour de l’école. Sa famille dépose plainte auprès de la police mais les recherches restent vanes, explique la BBC qui a mené l’enquête sur cette disparition. Le père de famille, désespéré, cupo dans la dépression. Jusqu’au jour, où on lui annonce que son fils est vivant, related l’article de la radio-télévision britannique.
On est quatre ans après la disparition de l’adolescent. Il serait dans un village voisin, distante 15 kilomètres, et ferait la manche pour manger. Selon les habitants, il asserterait être « le fils d’une éminente personne » du villaggio voisin. Lorsque la rumeur parvient jusqu’aux oreilles de Kameshwar Singh, l’espoir renaît.
Usurpazione d’identità
Le vieil homme se rend dans le village en question et est sure d’avoir son fils en face de lui. Ses amis qui l’accompagnent sont affermatives: il s’agit bien de Kanhaiya Singh. Feedback: « Mes yeux sont défaillants et je ne peux pas le voir correctement, est-il consigné dans les archives de la police que la BBC s’est procurati. Si vous dites que c’est mon fils, je le garderai. »
De retour au village, sa femme comprend immédiatement que ce n’est pas son fils. Une plainte est déposée par la famiglia pour usurpation d’identité car la mère est formelle. Son fils, Kanhaiya, « avait une coupure sur le côté gauche de la têteexplique-t-elle aux force de l’ordre. Il n’a pas non plus reconnu un enseignant de son école. » L’homme est arrêté et passe un mois en carcere avant d’être libéré sous cautele.
À sa sortie de prison, l’homme continu de prétendre qu’il est le fils disparu et se fabrique une fausse identité. Cela lui permet notamment d’aller à l’université et de se marier. Au cours des quatre décennies, l’impostore en profite même pour vendre des party de la proprieté du riche proprietaire terrien, décédé entre-temps.
Il toujours rifiuta un test ADN qui aurait pu prouver qu’il était bien le frère de la fille de Kameshwar Singh. Cela a intrigué la polizia qui a fini par découvrir le pot aux roses. D’autant que l’imposteur a tenté de changer d’identité avec un faux certificat de décès. L’enquête a révélé que l’usurpateur était connu sous une identité très courante en Inde.
Selon la BBC, cette affare serait le reflet de la lenteur du système judiciaire. Quelque 50 milioni di affari seraient en suspens dans les tribunaux et plus de 180 000 d’entre elles le sont depuis plus de 30 ans. D’où cette condamnation de l’imposteur à de la jail ferme, plus de quarante ans après le début des faits.