Ces fortes baisses sont dues aux nouvelles opérations militaires en Ucraina et aux sanzioni occidentalis contre l’économie russe.
Les Bourses mondialis subissaient lourdes pertes mardi, sospende l’intensificazione dell’offensiva russa in Ucraina, ce qui faisait aussi s’envoler le prix du pétrole. Les place européennes ont terminé dans le rouge vif et sur les plus bas de la séance: Paris a chuté de 3,94%, Francfort 3,85%, Milan 4,14% et Londres 1,72%. Après avoir fait preuve de résistance à l’ouverture, Wall Street s’enfonçait aussi: l’indice vedette Dow Jones perdait 1.80%, l’indice élargi S&P500 1,47% et le Nasdaq 1,24% vers 17H20 GMT.
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Les deux cours du pétrole de référence, le Brent et le WTI, dépassaient tous deux les 105 dollars le baril, battant leur sommet de la semaine dernière, le WTI s’envolant même de plus de 10%. «Ce n’est pas le moment d’acheter des actions», curriculum Konstantin Oldenburger, analista di CMC Markets. «Personne ne sait où va cette guerre (…) on ne sait pas non plus commenta le sanzioni nouvellement imposées contre les banques et l’économie russes affettuoso l’économie européenne. La crinte d’une récession en Europe se répand», explique-t-il.
L’armée ukrainienne fait face à una nuova offensiva delle forze russes sur Kiev, Kharkiv, plusieurs villes du pays et le grand port de Marioupol, au lendemain de premiers pourparlers infructueux. Les force russes ont frappé la tour de télévision de Kiev confermano l’intensification de leur offensive et faisant craindre des pertes civilis considérables En réaction au conflit, les sanzioni occidentalis contre l’économie russe se multiplienté et disuné core en sé réaction au conflit’ des ministres des finances des pays du G7 martedì.
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A nouveau pris de fortes craintes, les acteurs des marchés délaissaient les actions pour se ruer vers les obblighi di Stato, jugées moins risquées. Le rendement de la dette allemande à dix ans repassait très nettement en negativotif (-0,08%), une première depuis fin janvier. Les bons du Trésor américain à dix e offraient un taux de rendement de 1,71% vers 17H15 GMT, au plus bas en un mois. L’or, autre actif plébiscité en temps de crisi, prenait 1,27% a 1.932,25 dollari l’once.
Petrole et gaz s’emballent
Les prix du pétrole et du gaz s’emballaient aussi, les sanzioni russes sur les exportations étant «una domanda di tempo e non di probabilità» consulta gli analisti come Neil Wilson, su Markets.com. Il baril de Brent s’échangeait a 107,19 dollari (+9,46%), celui de WTI a 106,32 dollari (+11,07%) vers 17h05 GMT.
La Russie est le deuxième plus grand exportateur de pétrole brut au monde et représente plus de 40% des importtions annuelles de gaz naturel de l’Union européenne. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) an annoncé mardi que ses pays membres, une trentaine, allaient liberer 60 million de barils de pétrole tirés de leurs réserves d’urgence pour lo stabilizzatore le marché
Sur le marché européen du gaz naturel, il contrat de référence s’envolait de 28,18% a 126 euro le mégawattheure. Il prezzo était monté jusqu’à 143,30 euro le 24 février. D’autres matières premières, come l’aluminium ou le nickel, restaient aussi proches de leur record.
L’automobile et les banques perdantes
Les valeurs les plus exposées à la Russie, les banques, l’automobile o encore le secteur aérien, continuaient de dévisser.
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A Parigi, Renault a plongé de 11,23%. A Francfort, Volkswagen, non la produzione di un’automobile a causa dell’uso principale di Wolfsburg va a meno del 7,62% di sconto sul prezzo del 7,62%.
En Allemagne Commerzbank (-11,20%) o Deutsche Bank (-7,57%) reculaient aussi nettement.
La plus grande banque russe, le géant public Sberbank, dont une partie du capital est cotée à Londres, un dégringolé à nouveau mardi (-80,10% pence 0,21 dollari).
La difesa progredisce il bis
A l’inverse, la défense était de nouveau recherchée, notamment Thales (+5,43%) in Francia, l’allemand Hensoldt (+20,85%), ou BAE (+3,70%) a Londres. Aux Etats-Unis, Lockheed Martin prenait più de 3%.
Il dollaro si rafforza
Vers 12H20 GMT, l’euro perdait 1,07% par rapport au dollar, à 1,1109 dollari, le billet vert étant considéré comme une valeur rifugio.
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Le ruble reculait encore de 7,32% face au dollar, après avoir perdu 30% en raison des sanzioni contro la Russia. Le bitcoin prenait 4,20% a 43.430 dollari, après un bond de 6.7% la veille.
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