Braquer amatoriale.
Jugé responsable des maux (financiers du moins) rongeant les Girondins de Bordeaux depuis près d’un an, Gérard Lopez a tenu à répondre aux interrogations ce mardi soir au micro de RMC Sport et dans les colonnes de L’Equipe. Une maîtrise de la communication établie, mais un bilan final toujours maigre.
« Il club a été relégué, il faut tout faire pour qu’il retrouve sa place, non pas en Ligue 2, mais en Ligue 1. Il faut y aller étape par étape, répondre aux richiestees de la DNCG » un entamé l’Hispano-lussemburghese dans L’Equipe. Invité à résumer son passage plus que mitigé à la tête du FCGB, l’intéressé a enchaîné : « Depuis qu’on a récupéré le club, on a quand même diminué les pertes, baissé la masse salariale. Su l’a énormément assaini. Les investisseurs ne s’attendaient pas à une sanzioni aussi violente. » Car the couperet de la DNCG, tombé la semaine dernière et expédiant provisoirement le club en N1, en raison de sérieuses dettes, fait office d’équation difficile à résoudre.
Et c’est à RMC que Lopez s’est chargé de donner un élément de «risposta» : « Est-ce que les Girondins sont en Ligue 2 ? Fatto, non. Est-ce que les Girondins y croient ? Clairement, oui. Il faut qu’on bosse pour y être. Moi qui y bosse tous les jours, je vous dis que j’y serai à 100%. Maintenant, il reste 22 million à trouver. Cela se passe toujours comme cela avec la DNCG. Tous les club vendent, et ce qu’il faut, c’est donner une garantie sur les ventes. Et c’est là-dessus qu’il ya eu la plus grosse différence. » Aucune certezza per il club en curriculum.
Causa toujours, diront les Bordelais.
AB
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