Le Britannique Boris Johnson e il Polonais Mateusz Morawiecki se sont rendus a Kiev, martedì 1ehm février, pour afficher leur soutien à l’Ucraina et mettre une fois encore Moscou en garde contre la tentation d’une invasion du pays. « Notre paquet de sanzioni est prêt, le Royaume-Uni les imponera dès que la Russie aura mis un pied sur le territoire ukrainien »a prevenu le premier ministre britannique, lors d’une conférence commune avec le president ukrainien, Volodymyr Zelensky, alors que la présence de 100 000 soldati russis aux frontières fait crindre une offensive.
Sur la même ligne – alarmiste – que le président américain, Joe Biden, M. Johnson un bis assuré qu’il « est clair, selon nos renseignements, qu’il ya des préparations pour une campagne militari imminente ». Il a par ailleurs annoncé une aid de 88 million de livres sterline [près de 106 millions d’euros] destinée à soutenir la «governo» et « l’indipendenza energetica » de l’Ucraina. Londres avait déjà fait parvenir environ 2 000 missili antichars a Kiev à la mi-janvier.
Soutiens tardifs
Les médias britanniques et ses adversaires politiques ont presenté cette visite di M. Johnson come un tentativo di incontro al « partygate », lo scandale des fêtes tenues a Downing Street in plein confinamento. Depuis le début de 2022, M. Johnson, occupé à sauver son poste, avait délégué la crisi ukrainienne à ses ministres de la défense et des affaires étrangères. Lundi, il avait même dû annuler un appel avec Vladimir Poutine, pour aller se justifier à la Chambre des communes.
Vue de Pologne, l’offensive diplomatique de M. Morawiecki, qui, à l’issue d’un entretien avec le premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal, a promis « un soutien en matière énergétique, de défense, de soutien à la stabilité de l’economia ucraina, ainsi que de l’aide humanitaire », survient égallement très tard. Sa visit à Kiev è la prima depuis in nomination come chef de gouvernement, à la fin de 2017. Les relations se sont considerablement refroidies entre Varsovie et Kiev depuis l’arrivée au pouvoir du parti national conservatore Droit et justice (PiS) en 2015. La relazione privilegiata que la Pologne avait dans le passé avec son partenaire orientale et son statut de «main avocat» de la cause ukrainienne au sein de l’UE, a été sacrifiée sur l’autel d’une politique de ressentiments historiques. Et la diplomatie polonaise est ambiguë depuis que le gouvernement cherche une Alliance avec les partis souverainistes et d’extrême droite européens ayant des relations étroites avec Moscou.
Il vous reste 42.25% de cet article à lire. La suite è riservata agli amici.
“Appassionato di social media esasperatamente umile. Sostenitore di Twitter. Scrittore. Nerd di Internet.”