A Dnipro, la cohue des réfugiés ukrainiens en attenta d’un train
L’attente, la cohue, les adieux… Des milliers de personnes se massent à la gare de Dnipro, dans il centro dell’Ucraina, pour tenter de prendre un train vers l’ouest et fuir les bombardements russes.
Les habitants confiaient qu’ils ne voulaient pas attendre que Dnipro devienne « le prochain Kharkiv »la deuxième ville de l’Ucraina dans le nord-est, près de la frontière russe, théâtre de bombardements parmi les plus intenses depuis le début de la guerre.
Les hommes en âge d’être mobilisés, entre 18 et 60 ans, ne peuvent pas quitter l’Ucraina mais beaucoup étaient venus dire adieu à leurs épouses, mères et enfants au moment du départ. « Nous envoyons nos femmes et nos enfants à Lviv, peut-être plus loin, et nous restons ici. Nous saggi de rester positifs mais c’est une situation horrible »décrit Andrey Kyrytchenko, 40 anni, un maçon de Kharkiv.
Il personale della gara a déclaré n’avoir aucune informazioni sull’arrivo dei treni ni sur leur destinazione, même si la plupart des passaggi comptait se rendre à Lviv.
« Peu m’importe où ma famille se retrouve tant qu’elle est loin de Kharkiv », calcola Nikola Kyrychenkoi, 44 anni, un autista che fa ritorno a Kharkiv une fois ses proches dans le train. Ses vieux genitori, dans l’impossibilité de bouger, y sont restés.
Face à la masse de passagers cherchant à quitter la ville, la municipalità e annonce qu’elle allait installer une barrière spéciale pour protéger la foule, dans un communiqué sur la messagerie Telegram. Le maire Boris Filatov a par ailleurs appélé les hommes venus dire au revoir à leurs familles à rester loin des quais.
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