Nintendo est l’une des plus grandi imprese du jeu-video, présente presque à ses débuts et qui nous survivra très Certainement. Cela lui donne une véritable importanza dans le monde, et certes decisioni ne passent pas auprès de diverse associazioni di difesa per le patrimoine virtù. Cet exemple récent en est l’un des plus flagrants, et représente bien la difficoltà di salvare il patrimonio video-ludico.
Fondazione Nintendo vs Video Game History
En général, lorsque nous vous parlons de Nintendoc’est soit pour vous parler de l’un de leurs jeux récents, de l’un des Nintendo Direct qui annonce justement la sortie des nouveautés de l’entreprise, ou bien et c’est bien moins sympathique : de toutes les décisions juridiques liees à l’entreprise. Nintendo est connue pour être assez in transigeante sur certes sujets, Nota la creazione di fangame o l’utilizzo di video e musica liées à sa proprietécomme en témoigne cette affare, ou l’entreprise japonaise a envoyé plus de 1300 reclamations à une chaîne Youtube concernant des problèmes de droits d’auteurs.
En revanche, la raison pour laquelle la storia dei videogiochi Fondation est récemment montée aux créneaux sur les réseaux sociaux est différente. Cette association a pour ma de preserver le patrimoine vidéo-ludique qu’il soit matériel ou immatériel, en permanente un accesso libero agli archivi del videogioco. In Francia, cela peut rappeler le projet Articoli abbandonatiqui diffuse de manière régulière de vieux jeux rendus accessibile su PC tramite un émulateur maison, et sans DRM. L’actualité qui a fait monter cette organizzazione au créneau est la decisione di Nintendo de fermer le Eshop -le magasin virtù- da queste console 3DS e Wii U. Voci la dichiarazione dell’associazione:
La nostra dichiarazione sulla chiusura dei negozi digitali legacy di Nintendo. pic.twitter.com/mG5GzuGH4G
Bien qu’il soit deplorevole que les gens ne puissent plus acheter de jeux numériques sur la 3DS et la Wii U, nous comprenons la réalité commerciale qui a motivé cette décision. Ce que nous ne comprenons pas, c’est ce que Nintendo attend de ses fan, s’ils souhaitent jouer à ces jeux à l’avenir. En tant que membre payant de l’Entertainment Software Association, Nintendo finanzia l’attività di lobbying qui empêche même les bibliothèques de pouvoir fournir un access légal à ces jeux. Ne pas fournir d’accès commercial est comprensibile, mais empêcher le travail Institutionnel de preservation de cetitres en plus de cela est activement destructeur pour l’histoire du jeu-vidéo. Nous incoraggiamenti i membri dell’ESA come Nintendo ripensano la posizione sulla questione e il lavoro avec le istituzioni esistenti per trovare una soluzione.
Una posizione difficile à défendre?
Come esplicito, ce n’est pas la fermeture de ces stores en ligne que rimpiangere la VGHFc’est le fait que Nintendo n’ait -jusqu’à présent- pas annoncé d’alternative pour faire survivre les quelques 2000 jeux achetables sur ces plateformes. Un véritable trésor qui risque de disparaître définitivement, car ceux-ci n’esistente qu’en ligne, et si vous ne les avez pas sur vos appareils, ceux-ci ne seront plus trouvables du tout. D’ailleurs, si vous êtes un amateur de la licenza Pokémon, Nous vous invitons vivement à vous dépêcher de télécharger la Banque Pokémon sur vos appareil afin de sauvegarder vos collections et pouvoir tout transférer sur votre Nintendo Switch, o via Pokémon Vai.
Fermer ces stores en ligne est pourtant une pratique courante quand on est une entreprise de cette envergure. Garder une plateforme en ligne active possède un coût important à la fois économique et écologique, en nécessitant les services d’importants server. Mais più tomba: la VGHF incontra l’influenza sul fatto che Nintendo è un membro attivo e influente dell’Entertainment Software Association. Un organismo politico americano incaricato della protezione delle imprese del gioco video, servitore di chien de garde en faveur du rispetto dei diritti d’autore, sur la classificazione dei diversi giochi (le PEGI) mais aussi sur le contrôle des contenus adaptés d’Internet et de manière générale aux besoins commerciaux et publiques d’entreprises créatrices de jeux-vidéo. Organisme qui milite donc contre la libre diffusion du patrimoine vidéo-ludique.
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