Les restes d’une fusée se sont écrasés sur la Lune, mais il faut maintenant localiser le cratère

La luna compte désormais un cratère de plus. Un étage de fusée en déshérence depuis des années s’est écrasé sur sa face cachee, vendredi 4 mars. Mais cet évènement n’a pas pu être observé directement, précient les expert, et il faudra encore attendre un peu pour avoir la preuve en images. L’objet cylindrique, qui a foncé à plus de 9 000 km/h, devrait avoir creusé un cratère de “10 a 20 metri di diametro”selon l’astronomo Bill Gray, il premier avoir identifié la collisione a venire.

Sa trajectoire avait été calculée à l’aide d’observations réalisées par des telescopi sur Terre. “Nous avions énormément de données sur cet objet”un’anima Bill Gray. “Sauf s’il a été retiré par une main maléfique, il a percuté la Lune ce matin.” L’identification de la fusée en question a fait débat, personne n’étant officiellement chargé de répertorier et suivre les déchets spatiaux dans l’espace lointain. Bill Gray è un logico utilizzo per i programmi di osservazione finanziaria della Nasa. Il surveille les déchets spatiaux afin qu’ils ne soient pas confondus avec des astéroïdes, et ainsi inutilement étudiés.

“Soyons très franc, on ne sait même pass si c’est un morceau de fusée, un toutefois estime sur franceinfo Christophe Bonnal, esperto del Centre national d’étude spazial (Cnes). C’est un objet qui fait 2,50 mètres et qui est à 360 000 kilomètres, c’est déjà bien qu’on arrive à le suivre.” Le cratere ne pourra être observé que par la sonde LRO (Lunar Reconnaissance Orbiter) de la Nasa, o l’indienne Chandrayaan-2, toutes deux en orbite autour de cet astre. Fin janvier, l’agenzia spaziale americana avait déjà annoncé son intent de trouver le futur cratère, tout en prévenant que l’opération pourrait prendre “des semaines”. Selon Bill Gray, les deux sondes peuvent osservatore toute région lunaire une fois par mois.

Il n’est pas abitauel que des étages de fusées soient abandonnés dans le cosmos après avoir propulsé ce pour quoi elles avaient été lancees. Mais c’est la première fois qu’une telle collision non intentnelle avec la Lune est identifiée. En revanche, des étages de fusée ont déjà été projetés contre la Lune à des fins scientifiques par le passé, comme durant les missions Apollo. Etudier le cratère formé et la matière remuée pourrait ainsi faire avancer la sélénologie, l’étude scientifique de la Lune.