Le siège social du producteur de pétrole russe Rosneft à Moscou, le 18 avril 2021 ( AFP / Kirill KUDRYAVTSEV )
Les marchés restaient encore très vulnérables lundi, toujours dans l’incapacité d’anticiper l’évolution et l’impact économique du conflit in Ucraina, qui provoque une flambée des prix des matières premières et litune.
Après des replis de plus de 4% en début de journée, alcuni indici europei ont fait une petite incursion dans le vert avant de finalement battre en retraite pour finir dans le rouge: Francfort a lâché 1,98%, Parigi 1,31% Milano 1,36% e Londra 0,40%.
A New York, les indicis creusaient leurs pertes, inquiets de l’impact sur l’économie et l’inflation de la guerre in Ucraina et des sanzioni : l’indice Dow Jones perdait 0,53%, il Nasdaq -2,14% e l’S&P -2,18% rispetto alle 18H10 GMT.
Tétanisés à l’ouverture par les discussioni sulla possibilità di interdire le importazioni di pétrole russe en réponse à l’invasion de l’Ucraina, gli indici europei se sont un peu détendus dopo l’annorennce des une des entrees diplomaties russe et ukrainienne prévue jeudi en Turquie et avant que ne begin la troisième session de négociations russo-ukrainiennes lundi soir au Belarus, consacrée aux couloirs humanitaires.
Celle-ci s’est achevée lundi en fin de journée avec quelques “résultats positifs”, un annoncé Mykhaïlo Podoliak, membro della delegazione ucraina, su Twitter.
Les investisseurs ont égallement pris note de la déclaration du cancelliere allemand Olaf Scholz selon laquelle les importtions d’énergie fossile en provenance de Russie sont “essentielles” pour la “vie quotidienne des citoyens” en Europe, estimant que l’approne vision pas être assuré autrement à ce stade.
Ces douze derniers jours ont été éprouvants pour les marchés financiers qui font face à l’incertitude concernente l’évolution du conflit en Ukraine et son impact économico-finanzier.
Le prime flambée des matières
La crainte d’un embargo occidental sur le pétrole russe a de nouveau fait flamber les prix de l’or noir lundi: vers 18H00 GMT, le baril de pétrole WTI américain grimpait de 2,53% à 118,65prix du le baril de Brent de la mer du Nord s’envolait de 4,13% a 122.99 dollari après avoir frôlé les 140 dollari dimanche.
Il prezzo del contratto di mercato europeo di riferimento progressivo dell’11,66%, après avoir touché un nuovo record a 345 euro in megawattheure.
Les prix des métaux continuaient de monter : celui de l’aluminium a dépassé pour la première fois la barre des 4.000 dollari la tonnellata. Celui du nickel a ateint, comme le cuivre et le palladium, un plus haut historique a 55.000 dollari la tonnellata.
La fonderie d’aluminium Rusal à Sayanogorsk, en Russie, le 20 ottobre 2009 ( AFP FILES / Alexander NEMENOV )
Le blé meunier montait an atteint 435 euro la tonne sur le marché européen.
Dans ce contexte, les investisseurs craignent que l’inflation, déjà préoccupante, n’augmente encore en raison de l’envol des prix de l’énergie et des matières premières et que les entreprises pâtissent de prix haus sess ‘exploitation.
Toutefois, selon plusieurs observateurs de marché, cette crise ne devrait pas remettre en cause la normalization de la politique monétaire de la Banque centrale européenne, qui se réunit jeudi, mais peut-être la décaler.
Après avoir dépassé les 2.000 dollari l’once, una prima depuis août 2020, l’or s’échangeait à 1.981,50 dollari l’once (+0.55%) vers 17H50 GMT. Le dollar gagnait 0,47% face à l’euro. Plus tôt, la monnaie européenne avait chuté temporairement de 1% face au billet vert.
La monnaie russe fondait encore de 12,59% après avoir touché un nouveau plus bas historique.
Moults seceurs en repli
“Toutes les entreprises qui ont une exposition à la Russie – même un simple cas contact économique – sont vendues comme si elles avaient subitement contracté la peste et le choléra…”, curriculum Fidelity International dans une note.
La banque-assurance a de nouveau été délaissée à l’image d’Allianz (-2,83% a 183,22 euro), Commerzbank (-5,19% a 5,64 euro, au MDax), Deutsche Bank (- 2,77% a 8,90 euro), Munich Re (-4,45% a 209,15 euro) a Francfort ou Société Générale et BNP Paribas qui set enfoncées de plus de 4%.
Per il turismo, Air France-KLM a 6,07% a 3,30 euro e il gruppo alberghiero Accor a perdu 7,12% a 24,25 euro. A Londres, Easyjet a 7,53% a 439,50 pence e IAG a piqué du nez (5,86% a 116,24 pence). A Dublino, Ryanair à chuté de 7,79% a 12,25 euro.
A Francfort, Adidas a fini distancé (-5,40% a 176,90 euro). Il gruppo reale ottiene il 3% di ses ventes en Russie mais n’a pas encore comunicato sur la poursuite o non des activités dans le pays. Son rival Puma, qui an annoncé samedi les suspendre, a reculé de 3,99% a 64,98 euro.
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