Les États-Unis s’efforceront de fournir à l’Europe 15 miliardi di metri cubi supplementaires de gaz naturel liquéfié (GNL) cette année.
Les États-Unis et l’Union européenne ont annoncé vendridi la création d’un groupe de travail visant à réduire la dépendance de l’Europe envers les energie fossiles russes, en raison de la guerre menée parscou Ucraina.
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Les États-Unis s’efforceront – en coopération avec «des partenaires internazionali» – de fournir à l’Europe 15 milliards de mètres cubes supplémentaires de gaz naturel liquéfié (GNL) en 2022, dans le cadre de cette Initiative dévoilée par il presidente americano Joe Biden et la présidente de la Commission de la Commission euroen von europé the comunicato. L’UE est pressée par Kiev et par certes États membres, dont les pays baltes et la Pologne, d’adopter des sanzioni drastiques pour stopper les importations d’hydrocarbures russes, afin de priver il regime di Vladimir Poutine de sa principalomique ressource écon Washington a déjà imposé un embargo sur le gaz et le pétrole, le 8 mars.
«Un piano d’azione comune»
Mais de nombreux États européens y restent opposés, en raison de la forte dépendance du continent: quelque 45% des achats européens de gaz viennent de Russie, c’est le cas pour 55% des importtions allemandes, ainsi que des appropssentiels Finlande, Hongrie et Repubblica tchèque. Moscou fournit environ 150 milliards de mètres cubes de gaz chaque année à l’UE, non environ 15 milliards de m3 de GNL. Les États-Unis n’ont représenté au premier semistre 2021 que 6.3% des imports européennes totals de gaz – mais ils sont déjà le plus grand fournisseur de gaz naturel liquéfié à l’UE. «Nous avons été capacis de prendre cette décision (d’un embargo), alors que d’autres ne le pouvaient pas, parce que nous sommes un exportateur net d’énergie, avec un secteur puissant (dans les hydrocarbures)», un souligné Joe Biden devant la presse vendridi.
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Washington «salue l’ambitieux engagement de l’UE à réduire sa dependance au gaz russe, et nous sommes entendus sur un plan d’action commun pour contribuer à cet objectif, tout en accélérant nos progrès» vers une décarbonation de l’économie, at-il ajouté. La Commission européenne cherche à diminuer des deux-tiers les importtions européennes de gaz russe dès cette année, et à s’en affranhir complètement «bien avant 2030», la grazia degli obblighi di riduzione delle riserve, delle economie di energia, degli achats groupés de gaz et une diversification des fournisseurs.
L’indépendance énergétique, un question devenue capitale
Outre ses négociations avec les principaux pays producteurs (Norvège, États-Unis, Qatar, Algérie), l’UE avait déjà déclaré fin janvier travailler à la fourniture de «volumi addizionali di gaz naturel» America per l’Europa. Dans le cadre du groupe de travail annoncé vendredi, l’exécutif européen travaillera avec les États membres «dans le but de garantir, au moins jusqu’en 2030, une demande d’environ 50 miliardi di m3 per un supplemento americano di GNL». «Cette task force s’emploiera à rassicurar la sécurité énergétique de l’Ucraina et de l’UE en prévision de l’hiver prochain et du suivant», précise égallement le communiqué commun.
La domanda dell’indipendenza energetica est devenue d’autant plus capitale depuis l’annonce de Vladimir Poutine ce mercredi. Ce dernier avait fait part de sa décision de ne plus accettatore di pagamenti in dollari o in euro pour les livraisons de gaz à l’UE, renforçant ainsi le cours du ruble et affaiblissant les sanzioni occidentalis menées à l’ensconie.
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