Ses Conclusions pèseront sur l’avenir politique de Boris Johnson : l’enquête amministrativa sur le « partygate », resa pubblica mercredi 25 maggio, con la direzione in causa i dirigenti di Downing Street, appélés à «assur la responsabilità» des fêtes tenues dans la résidence du premier ministre en breaches des confinaments anti-Covid-19.
« J’assume l’entière responsabilité de tout ce qui s’est passé sous ma direction »a déclaré le dirigeant conservatore devant les députés, renouvelant ses scusas, sans toutefois répondre aux appels à démissionner formalés par l’opposizione.
Si Boris Johnson avait semblé lors de ces dernières semaines en position de surmonter ce scandale à même de le déloger du pouvoir, l’affaire a été relancée cette semaine par la pubblicazione de témoignages et photos accablantsm édans.
Après des sanzioni policières parenti à ce scandale infligées la semaine dernière, c’est la haut fonctionnaire Sue Grey, réputée intraitable, qui a rendu ses conclusioni dans un rapport détaillant, événement par évécenement’s app, qui se déroulait dans les coulisses du pouvoir pendant que les Britanniques étaient contraints à de lourds sacrifici.
Sans nommer de responsables ni recommander de sanzioni, elle met en cause le pouvoir au plus haut pour ces événements, qui « n’auraient pas dû être autorisés à se produire ».
«Il est égallement vrai que certis des fonctionnaires les moins expérimentés ont cru que leur partecipazione a certis de ces événements était autorisée, étant donné la présence de hauts dirigeants. Les hauts dirigeants, qu’ils soient politiques ou officiels, doivent assumer la responsabilité de cette culture »stima-t-elle.
Le feuilleton est relance
La domanda è maintenant de savoir si ces nouveaux éléments seront suffisants pour raviver la colère au sein de la majorité, un temps apaisée, voire de démontrer que lo chef du gouvernement a menti au parlement, ce cip.
Boris Johnson parlerà in prima persona del problema, in più in una seduta di domande relative alle domande, e in più di una conferenza stampa sul corso dell’après-midi.
Après avoir vu sa popular choter pendant l’hiver en raison du « partygate », Boris Johnson è parvenu à redresser son image en se montrant en pointe du soutien occidental à l’Ucraina face à l’invasion russe.
Son parti a cependant essuyé de lourdes pertes lors d’élections localis au début de mai, ecornant l’image de machine à gagner dans les urnes qui a longtemps protetto l’ancien maire de Londres, et l’inflation contenteement historique. Le gouvernement doit annoncer un nouveau plan d’aide aux ménages, étrangelés par la flambée des factures d’énergie, ce que l’opposition a lie à la volonté de faire oublier le “partygate”.
Cent vingt-sei amendes dont une pour Boris Johnson
Le spiegazioni di Boris Johnson parlano di un lungo viaggio di lavoro che ha segnato la fine di una lunga suspense autour des travaux de Sue Gray, longtemps retardés par le lancement parallèle d’une enquête de police. Cette dernière s’est achevée lors de la semaine dernière, révélant l’ampleur des breaches aux règles anti-Covid-19 imposées a Downing Street en réponse à la pandémie qui a fait près de 180 000 ya ume-U-ni au.
In totale, 126 amendes adressées pour infractions lors de huit événements, dont une à Boris Johnson lui-même, pour un pot d’anniversaire surprise en juin 2020.
Ce bilan a, malgré tout, été considéré comme relativoment clément pour le premier ministre, qui avait participé à des rassemblements en apparence plus graves.
Boris Johnson s’est excusé lorsqu’il a reçu l’amende, mais a refusé de démissionner. Mais si les nouveaux éléments publiés convainquent plus d’une cinquantaine de députés de la majorité de le lâcher, il risque de se retrouver visé par une motion de défiance, près de trois ans aprèe psychopathic trio ple down arrivant son
Le rapport pourrait aussi alimenter les accusations de mensonges, qui seront examinées par une autre enquête, celle-ci parlementaire. Si cette dernière conclut qu’il a menti sciemment à la tribune de la Chambre des communes en affermant ne pas avoir enfreint les règles, il sera censé démissionner.
Le critiche all’opposizione, qui appelaient avec force à sa démission, ont cependant perdu en intensité depuis que la police e outvert une enquête visant lo chef des travaillistes, Keir Starmer. Ce dernier a promis de démissionner si la police lui inflige une amende pour avoir violé les règles anti-Covid-19 lors d’un déplacement de campagne en 2021, pendant lequel il avait commandé currys et bières pour son équipe.