La journaliste Lea Salameh a participé au podcast Small Talk de Konbini, où elle parle de son enfance et de son histoire. Chose rare pour cette personnalité médiatique que les Français connaissent à travers la matinale de France Inter et dans l’émission de France 2 “Quelle époque”.
Leah Salama, vous ne la connaissiez probablement pas. C’est le concept du podcast Small Talk, de David Castello-Lopes pour Konbini : inviter des personnages et les faire parler de tout, sauf pourquoi ils sont célèbres.
Je suis arrivé en France à l’âge de cinq ans.
Ce jeudi 20 avril, le journaliste, après des personnalités aussi diverses que François Hollande, Luanne, Eric Judeur ou Bob Sinclar, c’est au tour de Léa Salameh de se plonger dans le jeu. Et elle n’a pas hésité à regarder en arrière. son enfance, et révélant une vérité encore inconnue, Leah, que ce n’est pas vraiment son prénom.
“Mon prénom est un prénom libanais car je suis né à Beyrouth et arrivé en France à l’âge de cinq ans à cause d’une guerre civile au Liban. Et donc à l’origine, Je m’appelle Hala“.
“On m’a dit que Dieu est grand”
Sauf qu’en France les noms étrangers ne se prononcent pas toujours très bien, et le “h” muet français “souffrait” pour le futur journaliste. “On m’a dit:” Dieu est grand “, vos parents vous appelaient Dieu”, explique-t-elle. Ça m’a beaucoup choqué”, alors que Hala signifie “bienvenue” en langue libanaise et est un prénom courant.
Alors, vers l’âge de 13 ou 14 ans, j’ai “demandé à ma mère d’inscrire Leah Halla à l’école et non l’inverse”. Léa Salama, une adolescente, explique qu’elle rêvait d’yeux bleus et de parents bleus, une mère du Creuset et un père breton. “J’ai pris le temps d’accepter ma différence, qui sera ma force”, explique-t-elle.
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