Le partite
En première mi-temps, c’est électroencephalogramme plat côté marittimo. Bien sûr, les Jaune et Noir résistent quand Toulon pousse devant leur ligne, tentent de gratter les ballons au sol, mais on ne send pas de dynamique, d’esprit d’entreprise. La ligne d’attaque est arrêtée, les lancements hesitants, les munitions très mal sécurisées. Aussi, alors que le RCT tente de faire feu de tout bois sans réalisme en tout début de match, il prend la mesure des erreurs negatives et comprend très vite qu’il peut capitaliser dessus au pied (4 pénalités de carbonel un sur un) après que Leyds, en hardé dès qu’il s’agit de se retourner (essai de Duncan Paia’aua, 13-0, 22e). Si Ihaia West, sifflé pour la forme par son futur public, réduit la marque après la sirène (19-6, 40e+1), le succès toulonnais semble déjà inéluctable.
L’impressione se confermata al ritorno degli abiti, même si Wainiqolo voit son essai refusé pour avoir roulé au sol (48e). Tawera Kerr-Barlow, tout juste entré, secoue son équipe et provoque l’essai de Eneriko Buliruarua (19-11, 50e). Mais sur un ballon tape au pied mais mal chassé di Buliruarua, Cheslin Kolbe plonge sur l’aile opposée (24-11, 55e). Le staff ouvre son banc en grand à l’heure de jeu, Carbonel poursuit son récital (27-11, 61e). Le maigre espoir est passé. Kolbe gratifie enfin Mayol d’un exploit personal, le bras tendu vers le ciel (34-11, 74e). Puis, sur une nouvelle attaque de Carbonel, Paul Boudehent rattrape comme il peut Julien Blanc et écope d’un carton jaune (75e). Aymeric Luc en profite pour servir un 2e bonus offensif cette saison au RCT (41-11, 79e).
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