“Le robinet coupé de Poutine, on y est”, a expliqué jeudi 23 juin sur franceinfo Nicolas Goldberg, expert énergie chez Colombus Consulting, alors que l’Allemagne a activé jeudi le “niveau d’alerte” sur son approvisionnement en gaz, qui rapproche le pays de la mesurement aprise de ration des livraisons de Moscou via le gazoduc Nord Stream. Nicolas Goldberg appelle à “plus de sobriété en accélérant les projets renouvelables” et a se “comporter en fourmi plutôt qu’en cigale” en economisant l’énergie.
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franceinfo : Est-ce que c’est un signal importante qui esté par l’Allemagne ?
Nicolas Goldberg: Efficacia, c’est un signal importante. Après ce n’est pas une grande sorpresa. On sait depuis le début de la guerre que cet embargo nous pendait au nez. Là, ça Begin à se concrétiser. Il ya la Pologne, la Bulgari qui ont été coupées, la France égallement. La Russie aussi diminué quasiment de moitié ses livraisons de gaz d’un grand gazoduc qui passe au nord de l’Allemagne. Le robinet coupé de Poutine, là, on y est. Ils y vont progressivement pour faire augmenter les prix et diminuer les volume pour que cela ne pénalise pas leurs finances. Il faut se dire la vérité. Là, on est face à un robinet coupé de gaz.
Est-ce que l’Europe a du mal à prendre la misura della situazione ?
Tout à fait. Il ya beaucoup d’économies d’énergie que l’on pourrait faire avec plus de sobriété en accélérant les projets renouvelables qui sont coincés et en accélérant sur l’efficacité énergétique. Il faut bien comprendre que le gaz, cela se stocke. Donc toute molecule de gaz que l’on ne consomme pas aujourd’hui, on peut la stocker dans des stockages gaz. Et les stockages gaz en France, c’est un quart de la consommation annuelle. Les remplir, c’est ce qui permet de passer l’hiver plus sereinement.
“Il vaut mieux prendre la mesure de cette urgence, economiser plus d’énergie, peut-être renoncer à Certainess pour se comporter en fourmi plutôt qu’en cigale, parce que sinon on risque d’avoir des gros problè la bise lors venue. “
Nicolas Goldberg, esperto di energia chez Columbus Consultinga franceinfo
Est-ce qu’il ya le début d’une privilege de conscience et le début d’un message des autorités vers la population ?
Oui, on est moins dépendants du gaz russe. Par contre, quand le gaz russe arrête de couler, cela impacte le prix de toute autre molécule de gaz qu’on importe. Donc on en subit quand même Certains effets. Il faut bien voir qu’il ya énormément de compétition sur le gaz naturel liquéfié qui pourrait arriver par ces fameux terminaux méthaniers. Cela coûte extrêmement cher. Ce n’est pas sûr qu’il y en ait assez pour tout le monde. Donc oui, on est moins dépendant du gaz russe. Par contre, cela a un effet prix. Et trouver les substituts, c’est compliqué. D’où la necessità della sobrietà e dell’efficacia. Et enfin, j’ajouterais que l’on va beaucoup dépendre du gaz pour produire de l’electricité cet hiver, parce qu’on a le nucléaire qui est un petit peu en berne en France. Donc attenzione, su peut avoir des problèmes sur le gaz. On peut avoir aussi des problèmes sur l’électricité si on ne fait pas un switch massif vers les économies d’énergie.
Compensare la produzione d’energia liée au gaz avec des énergies qui ne soient pas fossiles, combien de temps cela prendrait aujourd’hui en France ?
Aujourd’hui, en France, il ya deux tiers d’énergies fossiles dans la consommation d’énergie finale. Le but c’est de s’en débarraser d’ici 2050. On peut accélérer Certaines Chooses. Cela dépend des seceurs. L’électricité, par esempio, est quasi décarbonée en France. Là, le fossile revient à cause des indisponibilités nucléaires. Et on voit bien que dans Certains secteurs, on peut se séparer des énergies fossiles. On peut électrifier certes processus comme le chauffage, comme les transports avec le véhicule électrique. Il ya des sostituts. Il faut faire cette transition énergétique. On voit bien qu’il faut le faire pour des raisons climatiques, mais aussi pour des raisons de sécurité d’approvisionnement. Avant, on concernait juste ce qui n’était pas cher. Maintenant il faut Looking ce qui n’est pas cher et ce qui sécurise l’approvisionnement. Et toujours penser aux économies d’énergie parce qu’on ne pourra pas tout remplacer.