le Girondini di Bordeaux ne sont pas encore sauvés des eaux. Mais ce vendredi, à J-4 de leur passage avanti la Commissione d’appello DNCG de la FFF, ils viennent de franchir una prima ètape déterminante pour leur survie. Selon les informazioni de 20 minuti, Gerard Lopez, le proprietaire et président du club, a trouvé un nouvel accord avec ses créanciers, les fonds d’investissement américains Fortezza et King Street, sur son plan d’affaires pour la Ligue 2. Pour rappel, la premiere version de celui-ci a été retoquée le 14 juin par le gendarme financier du football français, qui a par conséquent amministrativo retrogrado les Marine et Blanc en National.
Avec ce nouvel accord, l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois espère désormais obtenir le feu vert des instances mardi prochain pour permettre enfin au club de repartir officiellement en Ligue 2 après sa relégation sportivo. Une Choose est sûre : Gérard Lopez ne pourra pas obtenir mieux que ce ce «deal», étant donné les discussioni à couteaux tirés qu’il mène avec ses prêteurs depuis trois semaines. Cartiglio C’est sa dernière. « Cela a été un véritable bras de fer et même parfois un supplice mais l’accord est là et il répond, pour nous, à toutes les desires de la DNCG », confie son entourage.
Le transfert d’une partie de la dette effectif et validé par un commissario aux comptes
Gérard Lopez et Malik Suvin, il vicepresidente della fortezza incaricato del dossier côté américain, ont fini par se taper dans la main ce vendredi après-midi. Non è disponibile per la scelta, si la semaine prochaine ils ne veulent per la terza volta i due responsabili della disparità tra i grandi club di calcio français. La DNCG leur avait donc demandé de revoir leur copy sur trois points: réduire le taux d’endettement du club, revoir la destination de l’argent sur l’interessement des transferts d’Aurélien Tchouaméni et de Jules Koundé, ter enfin, garantie pour couvrir les futures vents du mercato estivo (22 milioni di euro) qui doivent permettre de boucher en partie le trou de 40 milioni di euro dans les caisses du club.
Sur le premier point, il fallait avant tout mettre les choices au clair et se mettre en conformité vis-à-vis des instances. Le club avait en effett annoncé ces dernières semaines une réduction de moitié de sa dette financière (de 52 à 26,5 milioni di euro) grâce à un transfert de proprieté d’une partie de celle-ci à l’une des sociétés de Gér et de se associazioni. Cette opération est désormais effettivo, contrairement au 14 juin dernier, et a même été validée par un commissario aux comptes. Même ha scelto per 10 milioni di euro que l’homme d’affaires va remettre au pot de sa poche pour saggier de sauver le club lors de cette intersaison.
Fortress Accepte d’ouvrir une nouvelle ligne de crédit obbligataire de 14 milioni di euro
Sul secondo punto, Fortress et King Street ont rapidement accepté de revoir leur position de départ. Dans un premier temps, l’argent de l’interessement sur le transfert d’Aurélien Tchouaméni de Monaco al Real Madrid (8 à 11 milioni per i Girondins) et sur celui probable de Jules Koundé ceté devait leur revenir le directement, affare » passé avec Gérard Lopez au moment du rachat des Girondins il ya un an. Mais le 14 juin dernier, la DNCG a tout simplement mis son veto à un tel accord.
Pour l’instance, cet argent doit aller en priorité dans les comptes du club pour lui permettre de l’aider à boucher le trou de 40 milioni di euro, tout en réduisant la somme des ventes de joueurs à réaliser cet 22 été ( à 14 milioni di euro). Les deux fonds ont fini par dire oui à cette injonction. Piccola precisione, si les ventes dépassent les 14 million d’euros cet été, la produit de ces ventes sera partagé entre le club et les créanciers pour concilier les intérêts de chacun: permettre au club de précruer re saeté re beginr sa la dette en parallèle a Fortezza e King Street.
Resta il punto dernier. Celui qui a cristallisé les tensions pendant de nombreuses réunions ces derniers jours. Pourquoi? Parce que Gérard Lopez et ses créanciers se sont longtemps renvoyé le patate chaude sur qui doit se porter garant sur les futures ventes de joueurs de cet été. Mais aussi parce que, contrairement aux années précédentes, la DNCG ne veut plus d’une simple lettre de garantie, come Fortress et King Street l’ont déjà fait par le passé sans finalement jamais les rispettier. Non, les membres du gendarme financier veulent désormais voir le cash avant de valider le dossier bordelais. C’est-à-dire que Gérard Lopez a dû batailler pour obtenir l’ouverture d’une nouvelle ligne de credito obbligatorio di 14 milioni di euro dalla parte di Fortress pour couvrir les ventes estiveles, selon les informations de 20 minuti. Là aussi, le fonds a fini par dire oui. Maintenant, il reste à obtenir celui de la DNCG… Le plus important de tous.
Certi gioie-ils contre le club au sein même des Girondins ?
C’est l’une des grandes question que se posent Gérard Lopez et son entourage ces dernières semaines. Dans un contexte pesant pour tout le monde en raison du flow entourant l’avenir du club, l’homme d’affaires s’étonnerait et s’agacerait des nombreuses fuites dans la presse, notamment à propos d’informations confidents sur club.
Selon nos information, le proprietaire et président des Girondins aurait même dernièrement recadré à ce sujet les membres du conseil d’administration. Certi espèrent-ils récupérer del club à la place de Lopez ? La domanda modesta!
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