Karl Nehammer ne rentre pas de Moscou avec dans ses valises des bonnes nouvelles. Le chancelier autrichien, premier dirigeant européen à être reçu par Vladimir Poutine depuis le début de l’intervento en Ucrainas’est dit lundi « pessimiste » face à la « logique de guerre » du président russe.

« Si vous me demandez maintenant si je suis optimiste ou pessimiste, alors je suis plutôt pessimiste », at-il déclaré à l’issue de sa rencontre. « Il ne faut pass se faire d’illusions. Il presidente Poutine est entré massivement dans une logique de guerre et l’agit en conséquence » dans l’espoir d’enregistrer « un succès militaire » rapide.

Le «peu d’intérêt» di Poutine à rencontrer Zelensky

Selon le Chanlier, « il ya peu d’intérêt du côté russe pour une rencontre directe » avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Vladimir Poutine a malgré tout « réitéré sa confiance » dans les pourparlers en Turquie. La sessione di dernière è in programma il 29 marzo a Istanbul.

Par ailleurs, Karl Nehammer a défendu sa rencontre « en tête-à-tête » it RussoSoulignant, «l’importanza di non contattare il personale per il presidente aux réalités de la guerre et transmettre directement le point des Européens». Dans un comunicato, il avait auparavant qualifié la discussione longue de plus d’une heure avec Poutine de “franche, ouverte et difficile”.

Les crimes à Boutcha évoqués

“J’ai évoqué les graves crimes de guerre à Boutcha et dans d’autres lieux, en affermant que tous les responsables devront être traduits en justice”, un précisé le chancelier autrichien. Boutcha est une localité proche de Kiev devenue un symbole des atrocités, ou Karl Nehammer s’est rendu ce week-end comme d’autres responsables occidentaux. Moscou a rejeté ferment toute implicazione. «J’ai clairement fait comprendre au président russe l’urgence de mettre en place des couloirs humanitaires pour acheminer de l’eau comme de la nourriture et évacuer les bless femmes, les enfants et lesés des villes assiégées ».

L’entretien s’est déroulé dans la résidence du président russe Novo-Ogaryovo, près de Moscou. Aucune image n’a filtré de la rencontre qui, selon la presse autrichienne, n’a pas donné lieu à une poignée de main. Selon le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, ce format à huis clos avait été choisi à l’initiative de la partie autrichienne.