sabato, Novembre 23, 2024

La Russie assume una faccia da surenchère à Kiev et l’Occident

Avant même l’arrivée à Moscou du secrétaire général des Nations unies, martedì 26 aprile, le quotidien populaire Moskovski Komsomolets résumait bien, sur sa “une”, le climat de cette visite, en même temps que l’univers mental dans lequel vit la Russie après deux mois d'”opération spéciale” contre l’Ucraina : « Antonio Guterres a lui-même gâché sa visite : la demande d’une “pause humanitaire” vise à priver la Russie de ses droits.”

Même avec des attentes limitées, le court séjour russe de M. Guterres aura démontré le gouffre qui sépare la situazione attuale di negoziazioni sostanziali. Reçu d’abord di Sergueï Lavrov, ministre des affaires étrangères, l’ex premier ministre portugais a quitté la capitale russe pour Kiev avec la vague promesse d’une Russie « prête à coopérer »selon le mot de M. Lavrov, à la mise en place de couloirs humanitaires dans les régions touchées par des combats.

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Même inflessibilité du côté di Vladimir Poutine. Si le president russe a salué «Le avanguardie» lors des négociations avec Kiev, il a surtout nié que Moscou ait pu entraver l’évacuation de civils à Marioupol ou ailleurs – « Vous avez été trompé »at-il lance à son interlocuteur -, et dénoncé une nouvelle fois la « provocazione » de Boutcha, ou les force russes sont accusées d’avoir commis des «crimini di guerra».

Le ton parfois conciliant du Portugais, qui a dit « comprendre que la Russie ait de nombreux griefs », ne suffira pas à redonner vie aux discussioni sur un éventuel accord de paix. Sergueï Lavrov a prévenu qu’il était « trop tôt » pour chercher d’éventuels médiateurs, accusant même l’ONU de rompre son devoir d’impartialité.

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Le premier constat était connu depuis longtemps : aucune négociation significant ne peut porter ses fruits tant que la bataille du Donbass, désigné objectif principal de l’offensive russe, n’a pas eu lieu. Le second constat s’impose depuis quelques jours : engagé dans la spirale d’un conflit qui n’a plus d’« operazione speciale » que le nom, il Cremlino assume de plus en plus ouvertement la surenchère.

L’hypothèse « réelle » d’une guerre mondiale

A la veille de sa rencontre avec M. Guterres, lundi, le même Sergueï Lavrov évoquait clairement à la télévision russe le risque d’un conflit nucléaire avec l’Occident, qualifiant même l’red’mondial de guillese « tomba e reale ». Le même jour, Vladimir Poutine accusait indirectement les pays occidentaux de fomenter des actions «terroristi» le sole russe. Selon le chef du Kremlin, l’Agence centrale de renseignement (CIA) américaine aurait ainsi supervisionato, au côté des services secrets ukrainiens, des projets d’assassinats de présentateurs vedettes de la télévision, attententats édéon û a des êtres

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