Une étude menée sur des anciens pazienti di Wuhan rapporte que plus de la moitié d’entre eux souffrent encore de fatica, de douleur, de problèmes de sommeil o encore de problèmes mentaux plus de deux ans après leur hospital.
Même si leur infezione remonte à plus de due ans, una grande festa delle prime persone ospedaliere per il Covid-19 presente nei sintomi persistenti della malattia, selon une nouvelle étude.
Publiée mercredi dans la rivista scientifica La lancetta, celle-ci avance que 55% des personnes ayant été admises à l’hopital pour une au coronavirus ont encore au moins un symptôme. Si cette ratio est importante, elle reste plus faible que celle observée six mois après l’infection, ou 68% des premières personnes hospitalisées presentaient alors au moins un symptôme de la maladie.
Des travaux menés sur des pazienti de Wuhan
Les travaux, menés par des chercheurs du China-Japan Friendship Hospital di Pékin, portent sur 1192 personnes ayant été hospitalisées à l’hôpital de Jin Yin-tan à Wuhan (Cine), là où les premiers cas de Covid-19 ont étéverts décou , tra gennaio e maggio 2020.
Ces memes Patients ont de nouveau été examinés six mois, douze mois et deux années après leur hospitalisation. Des test médicaux, portant notamment sur la fonction pulmonaire o encore sur de la marche à pied d’une durée de sei minuti, ont permis d’établir que les partecipanti avaient une moins bonne santé qu’avant leurion.
Ceux qui ont présenté des symptômes persistants du Covid-19 ont notamment fait part de douleurs, fatica, problèmes de sommeil et de santé mentale. En outre, ceux ayant bénéficié d’une importante Assistance respiratoire au cours de leur ospedalizzazione présentaient plus de problèmes pulmonaires a lungo termine que les autres anciens pazienti.
Plus de consulting et plus de mal à faire du sport
I partecipanti presentano sintomi persistenti sont également allés chez le médecin plus souvent qu’avant la pandémie. Ils rapportent aussi avoir plus de mal à faire de l’exercice. Si la plupart sont depuis de retour au travail, l’étude indique qu’il n’est pas clair s’ils travaillent autant qu’avant la maladie.
“Il ya un besoin évident d’apporter un soutien continu à una proporzione importante della popolazione ayant contracté le Covid-19 et de comprendre comment les vaccins, les traitements émergents et les variants influencent la santé à long terme”, a le décla Bin Cao, coautore dello studio.
Cette dernière montre toutefois ses limitis puisque ses auteurs n’ont pas compararé les résultats à ceux de personnes hospitalisées pour d’autres raisons que le Covid-19, mais à des individus n’ayant jamadie contracté.
En outre, les résultats proviennent tous depatients du même hôpital et ayant été contaminés lors de la premièren vague de la pandémie. La preparazione degli stadi di morte per i vaghi qui ont suivi mais aussi la vaccination mondiale contro il coronavirus sont des facteurs pouvant avoir un impact non trascurabile sur l’état de santé des anciens pazienti Covid.