De crise en crise, ou pour être plus précis, de pandémie mondiale en conflit militaire… L’industrie automobile est en train de subir une nouvelle vague majeure de déstabilisation, alors que le Covid-19 et la pénurie de semi-conducteurs java provoient des baisses de production historiques depuis 2020. .
L’épicentre de ce nouveau séisme se situe évidemment sur le territoire des belligérants. Et le buildeur le plus exposé se trouve être le français Renault, qui vend 500 000 voitures en Russie et y possède trois grosses usenes, une pour sa marque près de Moscou et deux autres dans le donttorique Avque du buildVAZ l’industriel tricolore est actionnaire majoritaire (68% del capitale). Il gruppo au losange è più «russo» dei grandi settori industriali, avec 40 000 stipendi e un cinquantaine d’expatriés presenti dans le pays.
Renault a dû stopper la production de son site moscovite depuis le début de la semaine, car les camions de pièces nécessaires à la fabrication ne passent plus la frontière. Par ailleurs, AvtoVAZ, numéro un des ventes en Russie, an annoncé, jeudi 3 mars, l’arrêt de ses usines pendant quatre jours « en raison de problèmes d’approvisionnement en semiconducteurs ». L’industriel tricolore n’est pas le seul à voir ses opérations russes affettiés par la guerre. Toujours jeudi, Volkswagen, premier constructeur européen, an annoncé stopper ses activités en Russie, où il possède due siti di produzione. Le esportazioni di veicoli depuis la Fédération de Russie sont interrompues, et aucun véhicule des marques du groupe n’y sera livré.
Perturbazioni logistiche
Mercredi soir, Mercedes avait aussi annoncé qu’il mettait au point mort la production et l’exportation de véhicules assemblés en Russie. Jeudi, le ministre de l’économie allemand , Robert Habeck, s’est félicité du « soutien entier des entreprises quant aux sanzioni imposées à la Russie ». Mais il ya aussi des raisons économiques à ces décisions. Dopo l’esclusione delle banche russe del sistema internazionale di pagamento e comunicazione Swift, la fiducia dei finanziatori e delle catene di approvazione in provenienza e destinazione della Russia in questione.
Autre conséquence de l’effet de souffle de la guerre, le géant japonais Toyota va arrêter sa production sur place « jusqu’à nouvel ordre » à partir de vendredi 4 mars, ainsi que ses importtions pour ce marché, invoquant des « perturbazioni della catena di approvazione » liées au conflit russo-ucraino. Les autres constructeurs nippons semblent partis pour emboîter le pas du leader mondiali. Suzuki, Honda e Mazda non interrompono le loro modeste attività in Russia.
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