Largement mises à l’honneur lors de cette edizione 2022 di VivaTechle start-up de l’ Ecosistema GreenTech prennent une place de plus en plus importante dans le paysage imprenditorial français: « De La rivoluzione CleanTechun livre américain sorti dans les années 2000 à la GreenTech et la ClimateTech qui sont devenues des tendences aujourd’hui, l’accélération a été très rapide ces cinq dernières années », analysis thinké Isabelle euroTech, Albert Ufficiale capo operazioni de Satgana, un capital-risque, qui investit dans des start-up cerca soluzioni per temi climatici e biodiversità. «Tout l’enjeu de la GreenTech aujourd’hui, c’est de faire de l’impact tout en proposant services et prodotti durevoli, accesss au plus grand nombre».
Mais en fait, c’est quoi « faire de l’impact » ? Selon le movimento Impatto Franciaune entreprise à impact est celle qui se construit autour de quatre piliers: engagement une véritable transition en matière d’éco-consommation et d’écoconduite, défendre un social impact, en interne vis-à-vis de ses salariés ave en externe des services et produits inclusifs, partager le pouvoir en faisant preuve de transparence décisionnelle, de gouvernance éthique, de parité de genere et d’intégration de l’entreprise dans son écosystème territorial, instiller des’ valeursé éfinie sé straté sée mode de gestions équitables et transparents
D’ailleurs quand Catherine Ballard parle de sa pépite verte, Terra, présente à VivaTech, elle donne, elle aussi, immédiatement le ton: « C’est une entreprise à impact, dans la transition écologique». Cette start-up bretonne s’attaque à la problématique des pollins terrestres et aquatiques, notamment ce qui concerne les dépôts sauvages, et propone una soluzione digitale partecipativa. S’ingegner pour le climat est-il alors le critère principal per faire partie de la GreenTech? Pour intégrer le secteur de la GreenTech, une appli bas carbon est-elle alors le sésame ? « Nos imprese francesi della GreenTech sono presenti per l’edizione di un’edizione che coinvolge il fortement per réduire leur propre empreinte environnementale e per créer une innovation utile » afferma Julie Ranty, direttrice di VivaTech cette année.
Più verte que tech la scène française?
« Aujourd’hui, il ya toujours beaucoup de financements pour la trasformazione numérique mais il ne faut pas oublier que le digital n’est qu’un outil », tempère Isabelle Albert, dont la devise pourrait être « pour un numérau plus durevole servizio du développement durevole». « La tech a une fonction d’accélération », ajoute-t-elle. L’esperto GreenTech, également autrice de Tech it Green : Transformation numérique et transition écologique. Construire la double révolution du 21e siècle (2020), prend l’exemple d’Ynsect, cette start-up de l’alimentation, qui crée comme son nom l’évoque, de la nourriture à base d’insectes. En utilisant le apprendimento automatico et l’intelligenza artificialeTrova il set della tecnologia per facilitare la démarche ambientale.
C’est aussi le cas d’Earthency qui, à une bonne idée ajoute un peu de tech : « Notre outil n’a pas une grande profondeur technologique, admet Catherine Ballard, mais allié à notre concept novateur, il start-upient qui a sa place dans la categoria GreenTech». « La differenza aujourd’hui se fait dans l’analyse d’impact, et notamment celle du cycle de vie de l’ensemble de la solution proposta. Il faut avant tout mesurer le poids des technologies, leur impact environnemental pour être sûr que sur le long terme, les usages sont plus vertueux », raisonne Isabelle Albert.
Du monde associatif vers l’économie et la finance durevoli
Suite à une reconversion professionnelle en plan climat, la créatrice et fondatrice d’Earthency, Catherine Ballard a travaillé sur la gestion des déchets et la qualità de l’eau. En 2014, quand l’idée lui est venue, elle ne voyait pas d’autre moyen de mener son projet à bien que sous l’égide d’« une association d’intérêt général » : « c’est grâce à un mook gratuit d’HEC que j’ai intégré que je pouvais en fait créer une enterprise à impact, avec laquelle je serais sans doute mieux entendue qu’avec une simple association”. Et pour cause, le monde associatif a longtemps été le premier et le seul à s’engager en France, sur les sujets environnementaux et pour des solutions vertes.
« Quelques marques comme Patagonia ou Weleda s’en sont emparées très tôt mais elles étaient l’exception », disserte Isabelle Albert. Puis, après l’associatif et quelques start-up verde à la marge est apparue en France, l’économie sociale et solidaire, l’ESS. Et pour la spécialiste, c’est le point de départ de cette économie plus vertueuse: « aujourd’hui, les entreprises dites verde veulent être corrente principale. Elles changent la notice de désirabilité et de marketing». En somme, avoir le dernier SUV et lo smartphone dernière génération en poche est moins tendance que covoiturer, moins consommer, devenir vegan ou acheter un fairphone.
Gli esempi di Back Market, Vestiaire Collective ou Rzilient, qui en évangélisant le message « optimiser son budget et l’environnement est bien plus cool que surconsommer », ispirando gli imprenditori francesi della GreenTech, l’éco-sytème peutécê encore . « Oser et entreprendre aujourd’hui dans la GreenTech, c’est pire qu’un parcours du combattant, souffle Catherine Ballard, qui a lance Earthency en 2020. Les mentaltés ont besoin de temps pour change, il n’est pas encore évident pour les investisseurs de choisir d’injecter leurs capitaux dans des emplois qui ont du sens ».
C’est quoi aujourd’hui la GreenTech à la française?
« On parle ici de 1.800 start-up, un nombre qui a doublé depuis 2020, de 60.000 emplois et 3 miliardi di euro di chiffre d’affaires », riferisce Isabelle Albert. « A VivaTech, nous voulions particulièrement mettre la lumière sur ces thématiques, qui prennent de plus en plus d’ampleur», renchérit Julie Ranty. «C’en est fini des entreprises financières qui ne font que cocher les cases des critères ESG, qui distribuent des notes sans réellement interrogager l’impact et le modèle», assicura Isabelle Albert. Lo scandale des Ehpad Orpea ou la guerre en Ukraine ont aidé à rebattre ces cartes : il est l’heure pour une finance reellement durevole.
Aux Etats-Unis, le secteur est de plus en plus porteur et entendu mais l’Europe aussi des atouts à présenter. « La Suède et l’Allemagne tiennent la corde, avec la France égallement qui tire bien son épingle du jeu, analizza Isabelle Albert. La GreenTech européenne est deuxième mondiale derrière la poissance américaine».
Tecnologia et verde sont-ils pour autant irrémédiablement lies ?
L’alleanza della difesa dell’ambiente con il digitale è dovuta all’eleganza del mondo della tecnologia e al ruolo di facilitatore. Les geeks en puissance ont la reputazione d’être particulièrement flexibles et de pouvoir créer à peu près tout, à partir de rien. Pour l’experte GreenTech, « elle (la communauté tech) a récemment intégré son devoir d’exemplarité. Elle a d’abord cru qu’elle ne polluait pas en n’imprimant plus de feuilles et en restant dans le nube. La seule optimization était celle des Centri datiparce que la ventilazione et l’énergie coûtaient cher ».
Aujourd’hui, parce que sa capacità di adattamento est forte e parce que il prezzo di coscienza est tout de même plus rapide, elle opère sa transition bien plus rapidement. Ce qui fait de la tech un atout indéniable pour les entreprises à impact. « La GreenTech, c’est un retour vers l’équilibre, pour inverser le phénomène d’anthropisation et agir positivement sur les débordements de l’activité de l’homme», souligne Catherine Ballard. Il ne faut jamais oublier que « la technologie n’est qu’un des moyens pour répondre à l’urgence climatique», conclude Isabelle Albert. Et espérer qu’à l’instar d’Amsterdam et du continent America, Paris aura prochainment son salon entièrement dédié à la GreenTech.
“Fanatico di zombi da una vita. Praticante di web hardcore. Pensatore. Esperto di musica. Studioso di cultura pop impenitente.”