giovedì, Novembre 28, 2024

la giustizia inquirente su un’entretien téléphonique entre Alassane Ouattara et Boubou Cissé

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Su croit y entender Alassane Ouattara et Boubou Cissé tenir des propos peu élogieux sur les dirigeants de la transition malienne. L’enregistrement d’une discussioni téléphonique entre le président ivoirien et l’ancien Premier ministre malien circule sur les réseaux sociaux, elle fait l’objet depuis vendredi d’une enquête préliminaire de la « at te tenative maliinenne, et complicités à la sûreté intérieure ed extérieure du Mali.

Il procuratore del tribunale della Comune IV di Bamako conferma que c’est bien sur cet enregistrement, qui dure près de cinq minutes, que porte l’enquête qui vient d’être ouverte.

Sul croit y entender Boubou Cissé « più breve » Alassane Ouattara sur l’impact des sanzioni de la Cédéao sur l’économie malienne et sur les finances publiques. Les deux hommes discutent en des termes peu flatteurs de la capacité des dirigeants de transition à tenir, o encore de leurs attentes d’aide de la Russie, jugées pour le moins naïves. I poids rispettano i dirigenti della transizione, notamment du Premier ministre o du ministre de la Défense, est égallement au menu de l’échange.

L’autenticità della registrazione è « in corso di verifica » par la giustizia malienne. Les voix d’Alassane Ouattara et Boubou Cissé semblent très reconnaissables, mais il peut s’agir d’imitations o encore d’un montaggio.

En tout état de cause, s’agit-il, pour ceux qui ont diffusé cet enregistrement, de décrédibiliser l’ancien chef du gouvernement maleen en le faisant passer pour un traître à la patrie, comme le pensent sure Ou au contraire de lui donner une stature de présidentable, en mettant en scène ses relations et son influence, comme le prétendent d’autres ?

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Sur les réseaux sociaux, cet enregistrement est déjà présenté come la preuve d’un “plan machiavélique” contre les Maliens.

L’ancien Premier ministre d’IBK avait déjà été accusé per la giustizia malienne de «comlot contre le gouvernement et atteinte à la sûreté de l’État». C’était aux premiers mois de la transition. Lui et ses co-accusés avaient finale été blanchis.

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