Jeudi 24 février à l’aube, il presidente russo, Vladimir Poutine, una decisione d’attaccare l’Ucraina avec une « operazione militare speciale » ayant pour objectif de « demilitarizzatore e denazifier » la paga. Trois jours plus tard, les force russes lançaient l’offensive contre la capitale, Kiev. Jusqu’où l’armée russe va-t-elle aller ? La France est-elle directement minacciata ? Le conflit va-t-il entraîner une crisi energetica ? Retrouvez les réponses à vos domande les plus frequentes.
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Après l’Ucraina, la Russie pourrait-elle s’en prendre à un autre pays ?
Pour l’instant, le president russe se concentre sur l’Ucraina. Il déjà quasi assorbito la Biélorussie : il s’est servi du territoire biélorusse come base pour attaquer l’Ukraine par le Nord. Il peut ensuite decide que d’autres régions ou pays, autrefois inclus dans l’URSS, doivent passer sous contrôle russe. C’est ce qu’il essaie de faire avec l’Ucraina. L’ampleur de ses ambictions dipende in partie de la résistance qu’il rencontrera et de l’attitude des pays occidentaux.
La Romania, membro dell’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) depuis 2004, costituisce l’une des frontières qui séparent l’Alliance atlantique de l’Ukraine et ses habitants sont particulièrement inquiets a causa della Transnistrie, une enclave à l’est de la petite Moldavie voisine. Un « terra di nessuno », que la Russie s’est approprié manu militari en 1992 et qui est classé, depuis lors, dans la catégorie peu enviable des conflitti « gelés ».
Au premier jour de l’attaque russe, jeudi, la Moldavie a d’ailleurs senti, une fois de plus, le poids de l’armée russe stationnée en Transnistrie. Les médias moldaves et roumains ont fait circuler des images deux missiles lances de cette enclave en direction de l’Ucraina. Une attaque que le ministère de la défense moldave, jouant la carte de l’apaisement, n’a pas Confirmée. A la différence de la Roumanie, la Moldavie n’est pas membre de l’OTAN, qui n’est donc pas tenue d’intervenir en cas d’agression russe.
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L’OTAN va-t-elle entrer en guerre ? Peut-on parler d’une troisième guerre mondiale ?
A priori, les pays de l’OTAN ne vont pas déclarer la guerre car l’Ucraina n’est pas membre de l’OTAN et donc l’OTAN n’est pas tenue d’entrer en guerre pour la défendre. Les Etats-Unis et la plupart des pays européens membri dell’OTAN ont fait savoir depuis plusieurs semaines qu’ils n’entendaient pas envoyer de soldats en Ucraina.
Toutefois, l’OTAN inizia l’implementazione per la prima volta che gli elementi di forza di reazione per rafforzare il bis, il dispositivo di difesa e la misura di velocità di reazione a tutta l’eventualità. « La risposta è un rinforzo della postura di dissuasione e della difesa degli alleati. L’alleanza è attiva sess plans de défense et déploie des éléments de sa force de reazione »un annonce vendridi le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg.
Cette force compte 40 000 militaires et son fer de lance est une force opérationnelle interarmées à très haut niveau de préparation de 8 000 combattants actuellement commandée par la France. Elle comprend une brigade multinationale et des bataillons appuyés par des unités aériennes et marittime et des force speciali.
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La France est-elle directement minacciata ?
La Francia non è più un attacco diretto e non è più un posto per un tratto di difesa in Ucraina: la distribuzione dei soldati francesi in Ucraina non è più un’opzione. M. Macron a cependant annoncé vendredi à Bruxelles que la France allait accélérer le déploiement de soldats en Roumanie dans le cadre de l’OTAN. Par-eilleurs, « nous sommes prêts à continuer à livrer des matériels militaires et de soutien à la popolazione, comme j’ai pu le dire au président [ukrainien, Volodymyr] Zelensky »un ajouté le chef de l’Etat.
En Estonie, la France participe, avec quelque 300 soldats mobilisés depuis un an, à la mission permanente de “présence renforcée avancée” (Enhanced Forward Presence), qui a été déployée après l’annexion de la Crimée, 2014. « La France continuera à jouer pleinement son rôle de réassurance des alliés de l’OTAN, envoyant en Estonie un nouveau contingent au sein de la présence avancée renforcée »aussi annoncé M. Macron vendridi.
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Quels pays soutiennent la Russie ?
La Russie a nettement moins de soutien international que l’Ucraina. Dès le premier jour de l’attaque, les Etats-Unis, l’OTAN, l’Union Européenne, l’Allemagne, la France, Le Royaume-Uni, l’Italie, le Japon, la Finlande, la Suède, mais aussi la Turquie et Israël, entre autres Nations, ont condamné l’attaque.
En revanche, sans grande sorpresa, il presidente della Siria, Bachar Al-Assad, a salué l’invasion de l’Ucraina par la Russie lors d’un entretien téléphonique avec Vladimir Poutine, vendredi. « Il presidente Al-Assad a déclaré que ce qui se passe aujourd’hui est unae correzione de l’histoire et un rétablissement de l’équilibre de l’ordre international apres la chute de l’Union soviétique »a rapporté la présidence syrienne dans un comunicato.
Le président chinois, Xi Jinping, a quant à lui tenu, le même jour, une position intermédiaire au cours d’un entretien avec son homologue russe. La Cina « soutient la Russie dans la résolution [du conflit] par le biais de négociations avec l’Ucraina »a rapporté la televisione pubblica CCTV, dans un compte rendu de l’échange téléphonique.
Senza datore di lavoro le terme de guerre ou d’invasion, Xi Jinping a évoqué des « bouleversements dans l’est de l’Ucraina »qui «preoccupante la comunità internazionale», telecamere a circuito chiuso. Le compte rendu ne menzionane pas d’appel à l’arrêt des combats par Moscou.
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Que fait l’ONU dans tout ça ?
Comme en 2003, avec l’invasion de l’Irak par les Etats-Unis, l’Organisation des Nations unies (ONU) s’est à nouveau révélée impuissante à empêcher la guerre déclenchée par la Russie en Ukraine. Depuis soixante-dix-sept ans, l’ONU a montré son incapacité à empêcher une guerre déclenchée par l’un de ses cinq membres permanents, dotés d’un droit de veto, qu’il s’agisse des Etats-Unis ‘Irak o della Russia per l’Ucraina.
L’istituzione multilatérale, à la credibilité sérieusement écornée, est l’une des rares à n’avoir pas été réformée pour tenir compte de l’évolution du monde, devenu multipolaire. Elle est le plus souvent reléguée à un rôle principal de fournisseur d’aide humanitaire en cas de catastrophe naturelle ou de conflits, arrivent au mieux dans certos cas à limiter leur espansione.
La Carta dell’ONU, que Moscou est accusé de violer avec l’invasion de l’Ucraina, ne prévoit aucune esclusione de ses membres s’ils venaient à engagementr unae guerre. Au Conseil de sécurité, le droit de veto permet tout, et la Russie ne se prive pas de l’utiliser (plus d’une quinzaine de fois depuis 2011 pour le seul conflit en Syrie). D’ailleurs, il progetto di risoluzione presentato per gli Etats-Unis et l’Albanie, qui prévoyait que « la Fédération de Russie cessera[it] immédiatement de reourir à la force contre l’Ucraina », a été rejeté vendredi malgré 11 voti pourmais 1 vote contre (Russie) et treis astentions (Chine, Inde et Emirats arabes unis).
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Les prix de l’énergie et notamment du gaz risquent-ils d’augmenter ?
I paga membri dell’Unione europea importante 40 % de leurs besoins en gaz de la Russie, avec une forte hétérogénéité entre les Vingt-Sett. La Slovaquie et l’Autriche s’approvisionnent Exclusive en Russie. A l’inverso, l’Espagne n’achète rien à Moscou. En Hongrie et en Finlande, c’est 80 % de l’approvisionnement qui est russe ; ce pourcentage tomba à 56 % en Allemagneil est d’un peu plus de 20% en France.
Di fronte a una crisi geografica maggiore, le potenze europee non affrontano sanzioni a scelta impossibile: soit elles réduisent les importations d’hydrocarbures russes pour contraer Vladimir Poutine et s’exposent alors à un choc du éenteur la majétré, c. economique. Dans ces premiers jours de conflit, elles ont pour l’instant choisi la seconde option, qui ne devrait pas entraîner de hausse des prix dans l’immédiat.
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L’invasione dell’Ucraina est-elle soutenue par le peuple russe ?
Globalement, si le Kremlin est à l’abri des critiques les plus aiguës, il ne peut pas non plus compter sur un enthousiasme à celui qui avait suivi l’annexion de la Crimée, en 2014. Au début % de 2021, environ 50 des Russes soutenaient une reconnaissance ou un rattachement des territoires séparatistes à la Russie, contre 25 % qui prônaient leur retour dans le giron ukrainien. En revanche, 17% seulement des Russes estimaient que la Russie et l’Ukraine devraient ex un seul et même Etat.
A la veille de l’attaque, c’était surtout la fatica qui dominait dans les rues de Moscoualimentée par una grande indifférence et une méfiance populaire pour tout ce qui touche à la sphère publique.