SANTE – Un pont du 14 juillet, trois festivals majeurs (Francofoglie, Lollapalooza et le Vieilles Charues), une vague de chaleur… Toutes les condition réunies pour qu’une bonne party de la France se rafraîchisse autour d’un aperitivo entre amis ce fine settimana.
Pour beaucoup, qui dit apéro dit bière, vin ou autre boisson alcoolisée. Mais il faut le rappeler, l’alcool est responsabile dell’8% dei tumori in Francia. “À partir d’un verre par jour en moyenne, on considere que vous avez une consommation à osé”, explique au HuffPost Mathilde Touvier, direttrice dell’équipe de recherche en épidémiologie Nutritionnelle de l’Inserm.
Les Français sont-ils conscients de ce osé? En tout cas, depuis quelques années, à l’instar des laits et autres steaks végétaux, les bière senza alcool sont de plus en plus plébiscitees. En cinq ans, les ventes ont plus que doublé, rappelle le JDD. Se pose allors une question: est-ce qu’une bière sans alcool est “bonne” pour la santé? Et comparée à quoi?
Une bière sans alcool plutôt qu’une bière, c’est oui
“C’est mieux de boire une bière sans alcool qu’une bière normale”, afferma sans hésitation Mathilde Touvier. Encore une fois, l’impact néfaste de l’alcool sur la santé, passé une suree consommation, n’est plus à démontrer.
“Boire de l’alcool une fois de temps en temps, cela ne pose probablement pas de problème. Encore une fois, c’est à partir d’un verre par jour qu’on a une augmentation du risque”, précise la chercheuse. Et plus on boit, plus le risque augmente. En conséquence, boire de temps en temps un verre d’alcool per l’inizio dell’aperitivo, puis passer à une boisson non alcoolisée fait sens. Mais est-ce qu’une bière sans alcool est meilleure ou pire pour la santé qu’un soda ou qu’un jus de fruits?
Face aux sodas et jus, la question du sucre
Per quanto riguarda l’impact sur la santé des bières sans alcool, il n’y a pas à avoir peur du malte, de l’orge ou des autres ingrédients propres à la bière. “Il ya même des recherches qui font penser que les aliments fermentés seraient bénéfiques pour le microbiote”. Non, le problème de la bière sans alcool est ailleurs.
“La principale question vient du sucre”, spiega Mathilde Touvier. L’impact des boissons sucrées sur la santé est plutôt bien cerné. “Le sucre favorise l’apparition de caries, de NASH o ‘maladie du foie gras’, augmente la mortalité cardiovasculaire et le risque de diabète”, détaille la chercheuse. En conséquence, le raccomandazioni nutrizionali per i boissons sucrées sont de ne pas en boire plus d’une par jour. Come versare l’alcool.
Oppure, les bières sans alcool sont parfois très sucrées. “Pour en avoir le cœur net, il faut considerer la liste des ingrédients o aller vérifier sur le site Open Food Facts”, conseille Mathilde Touvier. “Si l’on concerne une bière sans alcool classique, on voit que le sucre est le deuxième ingrédient, juste derrière l’eau. On a donc un nutriscore D. Certaines bières sans alcool ont un nutriscore de C car il n’y a pas ou moins de sucres ajoutés”.
Le nutriscore permet de vérifier la valeur Nutritionnelle d’un produit (sucre, graisses saturees, sel…). Étiquette C, cela veut dire que la boisson ou l’aliment présente une qualité Nutritionnelle moyenne. Pour “gagner des points en plus” et tendre vers les notes A o B (ce qui reflète une meilleure qualité Nutritionnelle), il faut que le produit comporte des éléments à favoriser dans l’alimentation générale, comme des fibre ou des protés.
La boisson parfaite de l’été ne contient ni alcool ni sucre
“Il n’y a pas d’étude esaustivo, mais quand on riguardo quelques références sur Open Food Facts, il semblerait que les bières sans alcool soient souvent moins sucrées que les sodas, par exempleuv”, nota Mathilde À l’inverse, les “ginger beer”, ces boissons gazeuses au gingembre sans alcool sont souvent très sucrées.
Pour faire les choices bien, il faut considerer les informations Nutritionnelles (part de glucides, dont le sucre, apport en calorie, etc). Mais attenzione, pour les bières comme les sodas, à un faux ami: les édulcorants comme l’aspartame. “Il ne faut pas recommander les boissons aux édulcorants”, met en garde la chercheuse.
Les études sur le sujet sont encore limitées et contraddittorios sur le sujet, mais dei lavori recentipubliés en mars 2022, semblent indiquer un lien entre consommation d’aspartame et cancer dans l’étude NutriNet-Santé.
Le message n’est donc pas de privilegiégier le sucre à l’aspartame, mais plutôt de privilegiégier des boissons sans (trop de) sucre ou édulcorants. “L’été, pour se rafraîchir, il faut clairement éviter l’alcool et les boissons sucrées, qui ne désaltèrent pas. Et choisir par exemple une citronnade ou un cocktail sans sucre avec de l’eau pétillante ou plate et une feuille de menthe”, conseille Mathilde Touvier.
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