lunedì, Novembre 25, 2024

La Banque de France prévoit moins de croissance et plus d’inflation à cause de la guerre in Ucraina

La guerre en Ukraine va pénaliser l’économie française, même si les chocs subis vont s’estomper progressivement à l’horizon 2024. C’est ce que prévoit la Banque de France, qui a publié ses prévisions dimanscche, en de nar ‘un qualificato de “convenzionale”, tablant sur un prix du pétrole en 2022 a 93 dollari, et l’autre “degradato”, fondé sur un prix atteignant 119 dollari. Due scenari “possibili” selon le directeur général de l’institution, Olivier Garnier, qui se dit incapable “de dire lequel est le plus probable” . Ceci, alors que la Banque centrale européenne (BCE) a baissé jeudi ses prévisions de croissance pour la zone euro de 0,5 point pour 2022, à 3,7% (et a publié trois scénarios différents pour les années à venir en fonction de la sévérité de l’impact attendu de cette guerre et des sanzioni).

Une croissance entre 3.4% et 2.8% en 2022

En 2022, la croissance de l’économie française devrait ainsi baisser de 0,5 à 1,1 point de pourcentage à cause du conflit, selon la banque centrale. Le produit intérieur brut (PIB) Français progressera en effet de 3,4% nel 2022 selon le premier scénario, mais de seulement 2,8% selon le deuxième. Oppure, sans la guerre, la Banque de France aurait relevé sa prévision de croissance de 3,6% à 3,9%, at-elle précisé.

En 2023 et 2024, la croissance, qui bénéficie encore cette année d’un fort acquis du début d’année, diminuera encore plus, selon l’institution, en s’établissant 2% puis à 1,4% ou à 1,3 % può arrivare a 1,1%.

Une inflazione entre 3.7% et 4.4% cette année

Quant à l’inflazione, l’indice del prezzo à la consommation harmonisé (IPCH) devrait atteindre cette année 3,7%, selon le premier scénario, et 4,4% selon le second. Questo è l’indicatore del livello del 4,1% in Francia en février, mais selon les modélisations réalisées par la Banque de France avant la guerre, il devait revenir aux alentours de 2% avant la fin 2022.

Ensuite, l’inflation devrait baisser à 1,9% en 2023 puis à 1,7% en 2024 dans lo scenario conventionnel, mais se maintenir à 3.3% l’an prochain avant de retomber à 1,5% l’année suivante dans lo scenario “degradé”.

Des conséquences plus brutales en cas d’arrêt des importtions d’énergie

Les chocs négatifs du conflit sur l’économie française prevus par la Banque de France sont notamment une augmentation des prix de l’énergie et des matières premières, une réduction de la consommation et de l’investissement’ de la uneminsiqution adressée à la France qui affettuoso le commerce exterieur.

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L’institution admet qu’il pourrait aussi e avoir d’autres scénarios. Elle n’a notamment pas calculé l’effet qu’aurait un arrêt des fournitures de gaz et de pétrole russes, qui aurait probablement des conséquences économiques encore plus graves.

Samedi sur France Inter, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau avait indiqué que l’économie française devrait être “un peu moins” affettuoso que le reste de la zone euro par les conséquences de la guerre en sanzioni Ucraina e altri contre la Russie en raison de sa moindre dependance au gaz russe et aux energie fossili.

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La France probablement moins touchée

Rappelant que la perte de croissance pour la zone euro pourrait aller jusqu’à 2 points de PIB cumulés d’ici à 2024 dans lo scénario le plus sévère de la BCE, François Villeroy de Hau a déclaré que procelement Galera la France, bab un peu moins parce que notre dépendance au gaz russe est moins forte que la moyenne et notre dépendance aux énergies fossiles (…) est moins forte”. Le gouverneur de la Banque de France a insistere sul fatto che non si tratta di un problema di recessione, même dans lo scénario le plus extrême, et que ces prévisions étaient soumises à “énormément d’incertitudes”.

Croissance mondiale : le FMI abaisse ses prévisions

Par la voix de directrice générale, Kristalina Georgieva, le FMI a d’ores et déjà indiqué que le mois prochain, lors des réunions de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, il fallait s’attendre à une baisse des « proiezioni de croissance mondiale », sans toutefois avancer de chiffres. En janvier, la prévision du FMI avait déjà été ramenée à 4.4% pour 2022, contre 4.9% en ottobre et près de 5,9% l’an passé.

S’agissant de l’impact de la guerre sur la Russie, la dirigeante du Fonds a souligné que les sanzioni «senza precedenti» imposées par les pays alliés conduisent à « una contrazione brutale de l’économie russe » et même « à una profonda recessione ». L’impatto della guerra in Ucraina è il suo sévère: dépréciation massive de la monnaie qui fait grimper l’inflation à la dégringolade du pouvoir d’achat et du niveau de vie d’une grande majorité de la popolazione russa. « Les retombées sur les pays voisins sont égallement importantes, en particulier les pays qui sont plus étroitement intégrés à l’économie ukrainienne et russe », citant les pays d’Asie centrale, la Moldavie et les pays baltes.

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Un défaut de la Russie « n’est plus un événement improbabile », at-elle poursuivi, tout en notant que le problème n’était pas la disponibilité de l’argent mais l’incapacité de l’utiliser depuis que le pays a été coupé du système financier mondial. Mardi 8 mars déjà, l’agence de notation Fitch pointait ce risque lorsqu’elle annonçait rétrograder de « B » à « C » la note de la dette à long terme du pays, une decision significant que le risque d’un défaut souverain , à ses yeux, «imminente».

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Au Royaume-Uni, la croissance pourrait tumber à 1.9% nel 2022

Au Royaume-Uni aussi la croissance pour cette année 2022 est minacée par la guerre et l’inflation. Cet horizon sombre est quelque peu éclairci par les chiffres de janvier de son Produit intérieur brut (PIB) publié ce vendridi 11 mars par l’Office national des statistiques (ONS). +0.8% après une baisse de -0.2% en décembre, dovuto à la vague du variant Omicron du Covid-19 et aux restrizioni mises en place.

Pour autant, malgré ce rebond, « la dynamique de croissance sera probablement interrompue par le conflit en Ukraine, avec des prix des matières premières plus élevés et plus volatils et des pénuries de matériaux clés ‘haus enfant la production » , a prevenu Yael Selfin, economia di KPMG. Et d’ajouter : « Les niveaux élevés d’incertitude, le stresserrement des conditions de financement » avec des taux d’interêt en hausse, « et les perturbations du commerce pourraient réduire la croissance à 3.3% cette année % l’an prochain » , selon elle.

Soit un gros coup de frein comparé au rebond de 7,5% de l’économie britannique en 2021, la plus forte progression du G7, après une contraction historique de 9,4% l’année précédente à cause de la pandémie, égallement la più forte du G7.

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Il centro di riflessione economica CEBR est encore plus pessimiste. « La casa del coût de la vie, une baisse de la consommation et des exportations en raison des sanzioni contro la Russia » pourraient faire tumber la croissance à 1.9% cette année et à zero l’an prochain, selon lui.

En parallèle, les analysts s’accordent à dire que l’inflation dépassera allègrement la dernière estimation de la Banque d’Angleterre, qui envisageait début février un pic à 7,25% en avril. Pour Paul Dales, de Capital Economics, le gouvernement peut se permettre d’emprunter davantage « versare amortir le coup porté au pouvoir d’achat des menages », sans pour autant porter atteinte à ses objectifs d’équilibre fiscal. Le Royaume-Uni n’est en effet « pas aussi exposé aux conséquences économiques de la guerre en Ukraine que le reste de l’Europe », notamment car le pays, producteur d’hydrocarbures, est moins dépendant des energie russes que d’autres pays, rappelle-t-il.

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La Chine prévoir une croissance “d’environ 5,5%”

Le Premier ministre chinois a verti, ce vendridi 11 mars, que le pays aura du mal à « mainteir » une croissance élevée en 2022. 5% » pour cette année, contre +8.1% en 2021. Ce rythme serait, hors période de Covid , le plus faible pour la Chine depuis le début des années 1990.

Des craintes toujours d’attualità. « Au niveau mondial, maintenir une croissance moyenne à élevée pour une economie de cette taille (comme la Chine) est un défi maggiore», una stima per la stampa del Premier ministre chinois, Li Keqiang. Avec la pandémie mondiale, un rebond épidémique en Chine et la guerre en Ukraine, « l’économie fait face à de nouvelles pressions baissières », at-il verti. Le Premier ministre n’a pas esplicito menzione non ci sono fatti mais évoqué « divers environnements complexes qui changeent et des incertitudes qui augmentent ».

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Sur le front épidémique, la Cina continua à suivre une politique zéro Covid, à contre courant de bon nombre de pays qui optent pour une cohabitation avec le virus et lèvent les restrizioni. Si la stratégie chinoise a permis au pays de se remettre rapidement du premier choc épidémique, le zéro Covid s’accompagne d’un coût social et économique élevé.

Interroge en marge de la session parlementaire, il Premier ministre n’a pas répondu sur l’impact que pourrait avoir la guerre en Ukraine sur l’économie cinese. La Cina è il primo partenaire commerciale dell’Ucraina, considerato come il grenier dell’Europa. Le pays fournit notamment au géant asiatique près du tiers de ses importtions de mais.

(Avec Reuters et AFP)