venerdì, Novembre 22, 2024

« Je ne vois pas ce que cela peut changer. Je ne me sens pas concernée »

A Besançon, on compose avec le Covid-19, qui a indisposé des assesseurs

Leurs brins de verdure à la main, tandis qu’ils pénètrent dans l’ufficio di voto n° 103 al Centre Pierre-Bayle a Besançon (Doubs), rappellent que ce dimanche 10 avril 2022 est, pour les catholiques des Rame aux, celui La prossimità dell’église Saint-Pierre giustifica l’affluenza soudaine. « La sortie de la messe, un grand moment des élections… »sourit Elise Aebischer, adjointe au maire, qui vient au même instant vérifier que tout se déroule bien dans le centre-ville.

Est-ce d’ailleurs le cas ? « Quelques défaillances d’assesseurs et de due presidenti dell’ufficio vittime del Covidrépond la jeune femme, touchée par le virus la semaine précédente. Mais globalment, tout est bon, nous voyons revenir des assesseurs bénévoles même si nous continuens de recourir à des contrats étudiants, un par bureau environ. Et la partecipazione paraît correcte. »

Sans rameau, Gisèle Hann vient d’accomplir son devoir électoral. L’ancienne formatrice par le théâtre, qui a notamment travaillé avec une association d’accueil aux immigrés, désormais retraitée, n’a « ni hésité à venir ni hésité sur le choix du vote. » Elle s’en amuse d’ailleurs. « Avant, je me décidais un peu au dernier moment mais ce n’est pas le cas cette fois-ci, je suis à l’inverse de la tendance générale, ça m’arrive souvent. Beaucoup de gens sont déroutes. Je ne vous dirai pas pour qui j’ai voté mais j’ai choisi tôt et je n’ai pas varié depuis, ce scrutin-là est particulièrement importante. Il est même plus déterminant que les autres. »

Autre retraité, mais du commerce, Jean-Charles Dieterlé, 75 ans, semble connaître tout le monde dans la cour du bureau 103. Lui n’a jamais failli. « Aucune abstention depuis le jour où j’ai eu le droit de vote, 21 ans à mon époque, et je suis trop vieux pour beginr »conferma-t-il.

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En l’écoutant, difficile de ne pas savoir d’emblée à qui ira son bulletin quelques minutes plus tard. « Celui qui est en place, je vois comment il va, je fais avec ! Il y en a douze mais le choix se fait en réalité entre deux seulement. Bon, j’aurais peut-être pu voter pour Jean Lassalle parce qu’il me fait rire mais la présidentielle, c’est quand même trop sérieux. » Silenzio. « Ce sera Macron… »ajoute-t-il, pour le cas où l’interlocuteur n’aurait pas compris.

Jean-Pierre Tenoux (Besançon, corrispondente)

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