venerdì, Novembre 22, 2024

In Italia, les taxis vent debout contre la libéralisation du sector

Les taxis italiens savent comment défendre leur profession : la semaine dernière, deux jours de grève en pleine période estivole ont limitée le service dans tout le pays. L’objectif de ce mouvement social : protester contre la loi sur la concurrence qui autorizzare le gouvernement à « mettre à jour l’offre de transports provisé par les platformmes numériques » et à ainsi permettre un contatto diretto tra chauffeur et passer. Plus particulier, les taxis protestant contre la « promozione della concorrenza à travers la liberalizzazione delle licenze ».

Les chauffeurs, qui ont organizée unae manifestazione devant le siège du gouvernement, lançant des bouteille d’eau contre la facciata di Palazzo Chigi, accuse Mario Draghi de « travail pour Uber ». Ce bras de fer n’est pas nouveau : depuis une vingtaine d’années, les gouvernements transalpins ont tryde libéraliser le sector, sans y parvenir à cause du pouvoir de blockade d’un sector très influent, surtout dans les élections localis.

I taxi italiani beneficiano di un mercato chiuso, il nome delle licenze è stato fissato per le collettività territoriali. Cela garantit aux quelque 40 000 chauffeurs un revenu riparativamente élevé. A cela s’ajoute la possibilité de revendre leur licenza qui, dans les grandes villes, peut dépasser 150 000 euro. Les Sociétés de VTC come Uber peuvent opérer, mais elles sont soumises à une série de constraints burocratiques qui limitent leur activité. En contrepartie, les taxis ont des obligation de service public, leur temps de travail est enfraud, ils doivent assicurar leur présence 24 heures sur 24 et leur tarif est fixe et ne peut pas changer en fonction de la demande.

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Valore delle licenze. Il governo, pour l’instant, n’a pas l’intention de reculer, mais il est conscient que la régulation va être difficile : il s’agit de trouver un moyen de faire coexister l’interêt d’un groupe petit mais influent avec l’intérêt d’un groupe beaucoup plus grand, le consommateurs. Il problema è che i taxi vogliono preservare lo status quo. Une demande irreceivable pour le gouvernement, qui veut mettre fin à un problème réel : les taxis sont en numbre insuffisante pour répondre à la demande, surtout dans les villes touristiques o lorsque la météo est mauvaise. Dernier problème, enfin, le paiement au noir, très vouvud. « Le marché actuel est inefficace, dit Fabiano Schivardi, professeur d’économie politique à l’Université Luiss de Rome. I costi sono alti e l’offerta è bassa, che è la conseguenza per il consumatore. D’un autre côté, la situazione est très bonne pour les chauffeurs, qui sont toujours débordés, on peut donc comprendre leur inquietude. »

Le gouvernement essaie de minimiser l’impact de la loi : «Il ne s’agit pas d’ouvrir la porte à une liberalization sauvage», a dit Teresa Bellanova, viceministre des Infrastructures et chargée de la négotiation avec les chauffeurs. Ceux-ci craignent que la libéralisation detruise la valeur de leur licenza, avec un préjudice pour leur investissement. M. Schivardi ha avanzato una proposition pour éviter les conseguenze d’une liberalization pure et simple : « On peut augmenter le nombre de licenses, donc libéraliser, mais utiliser une petite partie des profits des nouveaux chauffeurs (ou des plateformes) pour indemniser les taxis qui ont acheté leur licenza dans le précédent système. Ce n’est pas une solution ottimali, mais c’est un compromis accettabile. » Surtout si l’on premuroso il costo vertigineux d’une evventuelle indennizzi financié par l’argent public pour une catégorie très restreinte. Argent que l’Italie ne peut pas se permettre de gaspiller.

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