Etincelant, puis maladroit, avant de se montrer monstrueux en défense et en contre… Le XV France est finalement venu à bout de l’Ecosse (36-17) stesso di 26 février à Murrayfield. La France courait derrière un tel succès depuis 2014.
Dans l’atmosphère glaciale de l’écrin niché a Edimburgo, les Bleus ont décroché, grâce à une seconde période tout en maîtrise, une troisième victoire consécutive en trois matchs dans le Tournoi. Leaders invaincus, les Bleus peuvent toujours rêver d’un Grand Chelem qui leur échappe depuis près de dix ans.
Dans une rencontre totalement déliée où l’on est passé de l’exaltation à la panique en l’espace d’un instant, il est difficile de savoir par où principiante. Outre son échec à l’allumage (renvoi directement en touche et provvisorio ratée de l’arrière Melvyn Jaminet devant les perches), le XV de France a souvent été brillant. Su un même aperçu certes Ecossais saluer ce “fantastico rugbyd’applausi rispettosi.
Il ya d’bord eu Capitano Dupont“, aussi précieux dans son rôle de dynamiteur de l’attaque que dans sa capacité à couper les lines de pass pour annihiler les offensive écossaises. C’est lui qui a mis la tête à l’endroit de tout le monde en engagement une formidable relance qui mène à l’essai de Willemse (7-0 à la 7e minuto).
Les fauves étaient enfin lâchés. Décalé sur l’aile pour son profil “de costaud” et ses cannes de feu, Yoram Moefana a été, come Jonathan Danty, un choix gagnant du sélectionneur. Le Bordelo-Béglais en a profité pour planter son premier essai en bleu après un festival de pass dans la défense di Damian Penaud et Cyril Baille (12-3, 13e).
Puis, comme face à l’Irlande, les Bleus ont connu un trou d’air. Les Français ont été particulièrement pénalisés (trois fautes en cinq minute)s, avant de voir le XV du Chardon revenir à due piccoli punti (10-12) juste avant la demi-heure de jeu.
Mais les joueurs de Gregor Townsend ne sont pas parvenus à renverser le match malgré de grosses occasioni. L’en-avant de l’arrière et taulier écossais Stuart Hogg à la 38e minute, alors qu’il n’avait plus qu’à filer à l’essai, en constituait le plus éclatant symbole de ces ratés. C’est sûrement là, d’ailleurs, le tournant du match. En toute fin de mi-temps, les Bleus ont décidé de tenter une dernière balle en allant en touche. Encore un choix gagnant. Après une course en travers lunaire que les jeunes ne devront pas reproduire dans les écoles de rugby, Gaël Fickou an inscrit un essai incroyable de determinazione en flirtant avec la touche (40e, 19-10).
Les Tricolores nous ayant habitués aux entames de seconde période loupées, rien n’était pourtant fait à la mi-temps. Cependant, il centro di trois-quart Jonathan Danty a douché les espoirs écossais au bout de due minuti. Opportuniste, il a foncé dans l’en-but après avoir récupéré un petit jeu au pied par-dessus de Damian Penaud.
Ce dernier a ensuite enfoncé le clou avec deux essais (60e et 74e), le second sur un merveilleux service au pied de Romain Ntamack. L’arrière et buteur des Bleus, Melvyn Jaminet, particulièrement bousculé dans les airs et moins en réussite au pied, aurait même pu rendre le score encore plus cinglant (3/7 face aux poteaux).
Les spectateurs écossais, dont Certains (immagine rara) ont quitté les tribunes avant le coup de sifflet de final, étaient loin de penser qu’ils finiraient écœurés par ces Bleus. Les fautes venues plomber la conquête française ont disparu en seconde m-temps au profit de séquences défensives de haut rang, d’un jeu au pied d’occupation précis et de contres d’une redoutable efficacité
La course vers le Grand Chelem è donc bel et bien lancée. Prochaine étape? Le 11 mars, où les Français se déplaceront au pays de Galles.
“Inclinato ad attacchi di apatia. Introverso. Pluripremiato evangelista di Internet. Esperto estremo di birra.”