Alors que la saison 2 de Viser le cœur A peine terminé dans TF1, Lannick Gautry réagit à la fin, qui voit son personnage dans une situation très délicate.
en fait ! Après trois petites soirées et six épisodes, TF1 baisse le rideau sur la deuxième saison de la série visant le cœur, La série policière met en vedette Claire Kim et Lannick Gautry. Une fin de saison qui a tout pour plaire une fin heureuse Depuis que le capitaine Julia Scola et le commissaire Novak Lesica ont retrouvé et sauvé leur fille des griffes du célèbre Malherbe. Mais si le public pensait les voir vivre une relation amoureuse parfaite, ce n’est pas ce que les scénaristes réservaient aux personnages. Avec le guide, presque coincé dans l’avion qui l’emmène passer quelques jours de rêve avec Julia, Novak est kidnappé par des hommes qui ne semblent vouloir que du bien pour lui…
Viser le cœur : Lannick Gautry réagit à la finale de la saison 2
“Tant d’émotion, tellement d’émotion !” Se moque de Nick Guthrie, qui réagit au kidnapping de son personnage. “Le badge présenté à Novak peut être officiel ou non. Ceci est souvent observé chez les personnes utilisant de fausses assiettes. Est-ce officiel ou non officiel… [Il rit.] Ils sont intelligents de mettre cette fin parce que cela donne envie.
Le reste est en dessous de cette annonce
Viser le cœur : Ouvert en fin de saison
À de rares exceptions près, les séries ne sont jamais renouvelées avant que le public sache quelle saison est actuellement diffusée. La règle s’applique à visant le cœur, Son final laisse cependant la porte ouverte à une troisième saison si elle est commandée. Difficile donc d’imaginer ce qui va arriver à Novak, que l’on croit coincé dans son passé. “Oui, cette fin laisse de la place… s’il y a une troisième saison”, Insiste Lannick Gutry. “Cela laisse beaucoup d’opportunités : est-ce que son passé le rattrape, est-ce le passé de quelqu’un d’autre et est-il utilisé pour faire chanter quelqu’un d’autre ? Personne… Il y a beaucoup de choses qui peuvent se mettre en place avec cette fin. Cela laisse tu rêves…”