Faccia a l’aumento del prezzo dei carburantile premier ministre Jean Castex an annoncé qu’une remise alla pompa de 15 centesimi per litro s’appliquerait à partir du 1er avril. C’est bien trop tard pour Olivier Thomas, garagiste, concessionnaire et pompiste en Alta Loira : la vente de carburant raprésentant près de 15% de son activité, il a bonnement décidé d’arrêter provisoirement d’en proponer!
« Su était à 1,80 euro il ya 10/15 jours de ça, alors passante a 2,50 euro, je trouve ça inammissibile, s’insurge-t-il. C’est pour ça qu’au bout d’un moment, je me suis dit : il faut arrêter ! ». Non agire. D’autant que le poste carburant n’est pas celui qui lui rapporte le plus : « je vends, allez, 15.000 litri par mois ; prenez une calcolatrice et multipliez 15.000 litri par 0,03 centesimi d’euro, vous allez voir ce je gagne. C’est dérisoire».
Le blocage des prix est-il nessuna soluzione miracolo ?
« Le crisi del 2000, 2008, 2012, on les a prises dans la gueule et on a survécu à tout ça, rappelle Olivier Thomas. Pour moi, la solution, c’est de bloquer les prix. Ça fait 20 ans qu’on se casse les pieds avec ça et que personne ne trouve de solution. Bloquons les prix sur les carburants puisqu’su arrive à le faire sur le gaz et sur l’elettricité! ».
Découvrez les hardés dont est victime sa profession dans cette video de notre partenaire Brutto.
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