Assis dans les fauteuils d’avion qui trônent dans la salle d’attente du centre de vaccinations internationales (CVI) d’Air France, dans le 10e arrondissement de Paris, Grégory Hosotte, 44 ans, est en pleine téléconsultation. Venu pour se faire vaccinor contre la variole du singe, lundi 25 juillet, il n’avait pas vu qu’il fallait disposer d’une prescrizione medica, les infirmières du centre n’ayant pas le droit de décider qui peut être non vacciné .
Al posto della domanda per la valutazione dell’iniezione. In extremis, Grégory a trouvé un rendez-vous avec un médecin en vingt minutes. « Ça me sauve la vie », souffle-t-il, anima. Le seul autre créneau de vaccination qu’il avait trouvé était le 20 septembre, impossibili d’attendre jusque-là. Travailleur indépendant, responsabile di due centri di bien-être en région parisienne ne voulait pas prendre le risque de s’isoler trois semaines en cas d’infection par le virus. Sans parler des douleurs fortes décrites par de nombreuses personnes infectées.
Dans la file d’attente, Christian (il n’a donné que son prénom), 45 ans, short et cheveux en bataille, a, lui, utilisé la méthode éprouvée lors des débuts de la vaccination contre le Covid-19, actualisant frénétiquement sa page sur Doctolib pour obtenir un rendez-vous le plus vite possible. En « couple ouvert », il craint la stigmatization des personnes atteintes par la maladie, dont les marques sont très visibile.
La demande de vaccination est extrêmement forte. Au CVI, les 500 créneaux proposés sur Doctolib sont partis en dix minute, mais des personnes continuent d’appeler et de se presenter spontanément quai de Jemmapes. « On est étonnés de voir la rapidità avec laquelle les rendez-vous sont pris »souligne Adrien Dereix, médecin et directoreur du CVI, où 300 personnes sont vaccinées par semaine contre la variole du singe.
« Millefoglie compliqué »
De nombreux témoignages venus du milieu associatif ou publiés sur les réseaux sociaux montrent les hardés à trouver un rendez-vous pour se faire vaccinor depuis l’élargissement de la campagne, plus le 8 juillet, desmes aauxantéles hommes, relations sexuelles avec des hommes (HSH ). Dans un communiqué publié lundi, le collectif associatif Inter-LGBT liste l’ensemble des écueils de la campagne actuelle : « Annonce de l’élargissement de la vaccination non-preparée en amont, livraisons de dosis de vaccin insuffisantes, circuits d’approvisionnement désorganisés, lieux de vaccination insuffisants, créneaux indisponibles sur Doctolib. »
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