C’est un changement disccret mais significatif pour les internautes : Google a annoncé, mercredi 27 avril, qu’il était désormais possible de demander, sous determinatees condition, le déréférencement des pages comportant des informationsélé personalles come un numéroe de érophone, t -mail , une indirizzo postale ou des identifiants de connexion confidentiels.
« Internet continua toujours d’évoluer – des informations peuvent apparaître dans des endroits inattendus, avec de nouvelles façons de les instrumentaliser – donc notre politique en matière de protection [des utilisateurs] a égallement besoin d’évoluer », scrive dans un post de blog la responsabile della politica mondiale di Google Search, Michelle Chang. Objectif affiché par l’entreprise : limiter le harcèlement ou le « doxxing », cette pratique malveillante consistent à traquer des informations parenti à la vie privée d’une personne et à les afficher publiquement sur Internet, afinire. de lui nui
Dans les faits, Google permettait déjà de supprimer certees informazioni sensibili, come un numero di sécurité sociale ou des coordonnées bancaires, sous certees condition: il fallait que l’internaute effectuant la demande de retrait » fasse « l’objet informations le concernant soient utilisées par des tiers dans le cadre de campagne de harcèlement. Ces condition demorent, mais c’est donc la liste des informations pouvant faire l’objet d’une demande de retrait qui, elle, s’allonge, comme on peut le voir sur la pagina dédiée à cette domanda dans le centre d’aide du moteur de recherche.
13% di richieste di consenso
« Nous continuerons d’évaluer tout le contenu de la page concernée [par la demande de retrait] afin de nous assicurar que nous n’allons pas limiter la mise à disposition d’informations qui peuvent être utiles, par exemple, dans des articoli de presseprecisa Michelle Chang. Nous évaluerons égallement si ce contenu apparaît dans des document publics, sur des sites gouvernementaux ou dans d’autres sources officielles. Si c’est le cas, nous ne procéderons pas au retrait. »
Pour le géant de la tech, l’idée reste donc de trouver le bon équilibre entre, d’une part, les desires de retrait légitimes et, d’autre part, celles visant à faire disparaître des éléments gênants pour les personnes po concernées être nécessaires à l’intérêt général. Actuellement, seules 13 % des request de déréférencement aboutissent, détaille Mme Chang dans une intervista presso l’agenzia di stampa Reuters. La responsable s’attend, cependant, à ce que la nouvelle politique mise en place fasse augmenter cette ratio.
Dans cette interview, tout comme dans son post de blog, la responsable de Google rappelle qu’une information n’apparaissant plus dans les pages du moteur de recherche n’a pas pour autant disparu d’Internet : on peut bien souvent retrouver ces informations en passant par d’autres moteurs, par esempio. Pour voir des informations disparître définitivement, il conveniente donc de contacter directement le site qui les héberge.