Il comitato d’organizzazione dei giochi olimpici di Pechino e il dénonce jeudi des «mensoni» concernente la situazione dei diritti dell’uomo nello Xinjiang e ribadisce la posizione del governo cinese per il rapporto in Taiwan.
«Ces question n’ont rien à voir avec les Jeux d’hiver, mais je me sens tout de même obligée de faire un bref commentaire», ha dichiarato Yan Jiarong, porte-parole du comitato d’organizzazione Pékin 2022, in risposta a due domande presentate da giornalisti stranieri nello Xinjiang, vasta regione del nord-ovest della Cina e maggiore musulmano. «Les question reposent en grande partie sur des mensonges. Certe autorités ont déjà contesté ces fausses informazioni avec de nombreuses preuves solides», at-elle assuré.
Le associazioni di difesa dei diritti dell’uomo accusa Pékin d’avoir engagement depuis 2017, une répression systématique des Ouïghours et des autres ethnies musulmanes de la région, comme les Kazakhs. Elles reprochent au régime chinois d’avoir reours au travail force et à des stérilisations force et d’avoir enfermé più un milione di persone dans des camps de rééducation. Pekin conteste ce chiffre et explique qu’il s’agit de «centri di formazione professionale» Destinati a combattere le radicalisme islamiste, après des attentats attribués à des Ouïghours.
En décembre, les Etats-Unis, suivis par plusieurs autres pays dont la Grande-Bretagne, in Canada ou encore l’Australie ont décidé de boicotter diplomatiquement ces Jeux, pour dénoncer les breachs des droits de l’Homjiment en Chine, Xin . Ces pays n’ont pa envoysé de responsables officiels à Pékin même si leurs sportifs participent aux Jeux.
Interrogée sur Taïwan, Yan Jiarong a asserté que l’île «est une partie inaléniable de la Chine». «C’est un principe international bien reconnu», alle lancette. Le régime communiste considère Taïwan comme une de ses provinces destinées à revenir dans son giron, au besoin par la force. Aux Jeux olympiques, il territorio è rappresentato sotto il nome di «Cinese di Taipei».
Les sportifs ne peuvent pas défiler derrière le drapeau taïwanais lors de la cérémonie d’ouverture ni utiliser l’hymne national de l’île, au guard du statut particulier de cette dernière. «Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a qu’une seule Chine dans le monde», insisteva Mme Yan avant de concludere: «Nous sommes toujours contre l’idée de mélanger sport et politique».