Gli astronomi dilettanti aussi vont contribuer aux découvertes du télescope

HD80606b. l’ esopianeta – ces planètes qui tournent autour d’une autre étoile que notre soleil – est nichée dans la patte avant de la constellation de la Grande Ourse, a 190 années-lumière de nous. Cette géante gazeuse, classée dans la categoria di Jupiter chauden’en est pas moins une aiguille – plutôt une micropoussière – dans la botte de foin qu’est l’Univers.

C’est pourtant vers celle-ci que le Telescopio spaziale James Webb (JWST) devrait pointer ses instruments vers octobre pour l’une de ses premières osservazioni. Parti le 25 décembre, le plus grand et plus puissant télescope jamais envoyé dans l’Espace est arrivé un mois plus tard à son poste d’observation, à 1,5 milioni di chilometri della Terre, et caliber depuis ses’ instruments avant être pleinamento operativo. « Pas avant sei mois », tablait-on, au moment du lancementun l’Agenzia spaziale europea (ESA).

Cacciatori di esopianeti

Avec sa vision infrarouge, le JWST pourrait permettre de grandis avancées, notamment d’en apprendre plus sur l’habitabilité des exoplanètes. Voilà pourquoi le grand frère d’Hubble intéresse à HD80606b. « Les astronomes veulent étudier son atmosphère pour mieux comprendre les phénomènes météorologiques qui s’y jouent », raconte Bruno Guillet, enseignant-chercheur en physique appliquée à l’Université Norrisité (laboratorio GREYC)astronomo dilettante la nuit, depuis son jardin.

L’observation donnera lieu à un article scientifique dans lequel Bruno Guillet devrait être menzionané. Sì sì. Car le Caennais a contribué à sa réussite, à son échelle, avec d’autres amateurs du monde entier. Les scientifiques voudront osservatore HD80606b lors de son transit, « lorsque l’exoplanète passe entre nous et son étoile », explique Franck Marchis, astronomo franco-americanochecher au Istituto Setti et direttore scientifico d’Unistellar, impresa marsigliese qui conçoit des telescopi numerici. Avec HD80606b, su sait que le transit a lieu tous les 111 jours. « Mais gli astronomi qui souhaitent l’obsever avait besoin de plus de précisions pour préparer au mieux cette osservazione et éviter de braquer le JWST deux heures trop tot ou trop tard, reprend Bruno Guillet. A novembre, via Orologio dell’esopianeta della NASA, un programma di scienze partecipative dell’agenzia spaziale americana, non è richiesto dagli astronomi amatoriali di un transito dell’HD80606b per precisare le immagini, cronometrare la durata ecc. Le Caenna è un répondu presente, avec d’autres amateurs du monde entier. «C’était le 7 décembre dernier», précise-t-il.

Un réseau précieux de petits telescopi presenti aux quatre monete del globo

L’illustrazione parfaite du plus que peuvent apporter les astronomi dilettanti, pour Franck Marchis. « Dans bien des cas, il est très utile aussi d’avoir un réseau de petits telescopi, mobili e presenti partout sul globo, lancia-t-il. C’est l’assurance d’avoir toujours quelqu’un pour osservatore un événement inédit. » Et de prémâcher la tâche des télescopes professionnels. C’est toute la finalité d’ailleurs des télescopes numériques d’Unistellar, parfaits pour les sciences partecipatives. « Il suffit d’entrer les coordonnées célestes de l’objet que l’on souhaite osservatore per il telescopio pointe automaticiquement dans cette direction, reprend Franck Marchis. On peut être un complet néophyte et très vite faire des osservazioni passionnantes. »

Depuis son lancement en 2016, Unistellar s’est construit petit à petit une communauté de 5.000 dilettanti e non Bruno Guillet est l’un des membres les plus actifs. « L’an dernier, cette communauté a réalisé 413 osservazioni d’exoplanètes, dont une située à plus de 2.700 années-lumière», compte Unistellar.

Là bis, l’idée est d’aider des scientifiques. Ad aprile 2018, la Nasa a mis en orbite Tess, un télescope spaziale lui aussi, consacré à la recherche d’exoplanètes. Pas facile puisque la prossimità di ces planètes avec leur étoile est si grande que leur lumière est complètement noyée dans celle-ci. « Pour se faire, Tess rilevare et osservare il transito, le moment où on va voir l’ombre du corps céleste se dessiner et l’intensité lumineuse de son étoile diminuer, facilitant son osservazioni. » Mais une seule Observation ne suffit pas à certifier qu’on a devant les yeux une exoplanète. « Il faut osservatore d’autres de ces transits, ce que Tess n’a pas le temps de faire… contrairement aux astronomi dilettanti, pointe Franck Marchis. Il telescopio spaziale ainsi repéré près de 10.000 potentielles exponentielles, non 5.000 confermati per la suite. Reste à en faire de même pour l’autre moitié. » Ce travail de fourmi bénéficie aussi, indirectement, au JWST, puisque the télescope sera pointé sur les exoplanètes les plus interressantes repérées par Tess.

Ne pas gaspiller le temps précieux du JWST

D’autres contributi simili diamateurs à la bonne réussite du JWST pourraient suivre, estime Franck Marchis. Una certezza : « Le « temps de télescope » sur James Webb sera très précieux tant la demande est forte, indique Franck Marchis. Pas question de perdre son temps en le pointant par exemple deux heures trop tôt vers une exoplanète qui n’aura pas encore commencé son transit. »

En attendant que les besoins seprécient, gli astronomi dilettanti ont déjà fort à faire avec les program de sciences partecipatives en cours. Jusqu’à début mai, Unistellar appelle notamment sa communauté à braquer ses télescopes sur la comète C/2021 O3. Luogo du nuage de Oort, a 100.000 unités astronomiques de nous (très très loin), « elle passe en ce moment dans notre système solaire et il est probable qu’elle soit visible tout mai, indique Franck Marchis. Non seulement lo spettacolo devrait être éblouissant, mais sera aussi scientifiquement intéressant d’observer le comportement de la comète à l’approche de notre Soleil. » Les données récoltées seront envoyées au Seti Institute, qui espère en apprendre plus sur la composition interne de cette comète.

Outre les exoplanètes, l’autre grand dada de la communauté Interstellar – 395 osservazioni l’an dernier – est l’observation d’astéroïdes. « A un moment précis, lorsqu’ils se retrouvent entre nous et leur étoile, précise Franck Marchis. Depuis la Terre, on voit alors l’ombre de l’astéroïde, ce qui permet de mieux en déterminer la taille et la forme. » Des informations bien utilis à la réussite de missions spazial. Notazione celle dela sonde Lucy, partie le 16 octobre dernier pour visiter un astéroïde de la ceinture principale (entre Mars et Jupiter) – elle y sera en 2025 – puis sept asteroïdes troyens di Giove. « Elle passera relativement vite au-dessus de ces objets, si bien que la Nasa a besoin d’un maximum d’informations pour peaufiner sa trajectoire, savoir à quel momento braquer tel ou tel instrument sur une partie intéressante de l’astéroïde » raconte Franck Marchis.