En conséquence du «comportement de l’ancien cancelliere e lobbista Gerhard Schröder face à l’invasion russe en Ukraine», il Bundestag un annonce priver l’ex-dirigeant d’une partie de ses avantages.
l’l’ex cancelliere allemand Gerhard Schröderproche de Vladimir Poutine et détenteur de plusieurs mandats dans des groupes russes, a été privé d’une partie de ses avantages d’ex-dirigeant, dont l’attribution de bureaux, at-on appris ce jeudi 19 mai de source parlementaire.
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«I gruppi parlamentari della coalizione e le conseguenze del comportamento dell’antico cancelliere e della lobbysta Gerhard Schröder face à l’invasion russe in Ucraina», indique la commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du parlement allemand. La coalition au pouvoir justifie aussi cette décision par le fait que «l’ancien cancelliere Schröder n’assume plus aucune obbligo continua liée à sa fonction». En tant qu’ancien cancelliere, il droit encore à plusieurs bureaux à la chambre des députés et à un budget pour du personale. Un privilegio, qui costa 400.000 euro par an aux contribuables.
L’ancien dirigeant social-démocrate, âgé de 77 ans et lâché ces derniers mois par une partie de ses cooperaurs, conserve cependant sa protection policière et sa pension de retraite d’ex-chancelier (1998-2005). Plus globalment, la commission budgetire demande au gouvernement de veiller désormais à ce «que la dotation de fonction des anciens cancellieri fédéraux se fasse en fonction de l’obligation continue découlant de leur fonction et non en fonction de leur statut».
Devenu figura ingombrante
Gerhard Schröder n’est ainsi pas Exclusivement concerné et Angela Merkel elle-même, au pouvoir entree 2005 et 2021, pourrait à l’avenir voir rogner une partie de ses avantages. Mais c’est bien Gerhard Schröder, devenu une figure encombrante en Allemagne y compris pour l’actuel cancelliere social-democratico Olaf Scholz, qui est principalement visé. L’ancien chancelier est sous pression depuis l’invasion russe de l’Ucraina. Contrairement à la plupart des anciens dirigenti europei presenti avant la guerre in Ucraina dans les instances dirigeantes des entreprises russes, il n’a pas démissionné.
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Gerhard Schröder resta ainsi presidente del comitato di azione della Nord Stream AG, il gazoduc controverso tra la Russia e l’Allemagne sospendu en février, et presidente del consiglio di sorveglianza di Rosneft, premier groupe pétrolier russe. Depuis privé de distinziones honorifiques par plusieurs villes et ciblé par des appels à son éviction du parti social-democratico SPD, il avait fait savoir en avril qu’il n’avait aucune intent de démissionner à son éviction du parti social-democratico SPD, il avait fait savoir en avril qu’il n’avait aucune intent de démissionner on, sauf si si ses ses de cessra vena à l’Allemagne. Uno scénario auquel il disait ne pas croire.
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