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Gaia presente una carta sans equivalente de la Voie lactée

publié le samedi 11 giugno 2022 alle 16:23

La missione Gaia, non il telescopio spaziale veste una carta détaillée de la Voie lactée, en dévoile lundi une nouvelle version riche d’informations sur près de due milliards d’astres dont elle suité la course et analytse les proprié.

“C’est le couteau suisse de l’astrophysique. Il n’y a pas un seul astronome qui n’utilisera pas ses données, directement ou indirectement”, afferma à l’AFP l’astronome de l’Observatoire de la Côte d ‘Azur, François Mignard, responsabile di Gaia pour la France.

La communauté des astronomi pourra piocher des lundi, a partire dalle 10:00 GMT, dans le troisième catalog des données récoltées par l’instrument. Une moisson, accompagnée d’une cinquantaine d’articles scientifiques, qui recense une pléiade d’objets célestes.

Des plus proches, avec plus de 150.000 astéroïdes de notre système solaire, “dont l’instrument a calculé l’orbite avec une précision incomparable”, dit M. Mignard, en passant par de nouvelles mesures concernant plus d’1,8 miliardi d’étoiles de la Voie latte. Et au-delà de cette galaxie: des populations d’autres galaxies et de quasars lointains.

Lanciato per l’agenzia spaziale europea (ESA), il telescopio Gaia est operativo del 2013, stationné sur unae position privilegiata, appelée L2, à un et demi de kilomètres de la Terre, à l’Sole.opposé

– Scanner le ciel –

“Gaia scanne le ciel et ramasse tout ce qu’il voit”, curriculum l’astronomo Misha Haywood, à l’Observatoire de Paris-PSL. Il détecte et osserva une toute petite partie (à peine 1%) des astres de notre galaxie, dont le diamètre mesure 100.000 années lumière.

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Mais il en établit bien plus qu’une simple carte. Ses deux télescopes sont associés à un capteur Photographique d’un milliard de pixels, la où celui d’un appareil photo commercial se compte en million. Trois instruments d’astrométrie, photométrie et spectroscopie, vont interpréter les photons, de véritables signaux de lumière, ainsi récupérés.

“Il fournit grâce à cela une observation globale despositions de ce qui bouge dans le ciel. C’est la première fois”, poursuit M. Haywood. Avant Gaia, “on avait une vue vraiment restreinte de la galaxie”.

Avant Gaia? C’était Hipparcos, il satellite qui a révolutionné l’observation après son lancement par l’ESA en 1997, en catalog plus de 110.000 objets célestes.

Avec Gaia, les astronomes ont accès non seulement aux position et mouvements d’un grand nombre d’étoiles, mais aussi à des mesures de leurs caractères physiques et chimiques, et, tout aussi important, de leur âge.

Autant d’informations “qui nous renseignent sur leur évolution passée, et donc sur celle de la galaxie”, spiega l’astronoma Paola di Matteo, collègue de Misha Haywood à l’Observatoire de Paris-PSL.

– Découvertes Majeures –

C’est d’ailleurs “une des raisons pour lesquelles Gaia a été construit”, poursuit l’astronome. “Les étoiles ont cette particularité de vivre des milliards d’années. Leur mesure est donc comme celle d’un fossile qui nous renseigne sur l’état de la galaxie au moment de leur formation”.

Cette vision d’ensemble des mouvements des étoiles de la Voie lactée a déjà permis des découvertes majeures. Avec le deuxième catalogue, livré en 2018, les astronomes ont pu montrer que notre galaxie avait “fusionné” avec une autre il ya dix miliardi di anni.

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Le catalog a donné naissance à des milliers d’articles scientifiques depuis sa première edition en 2016. Le flot de données nécessite une chaîne deement au sol dédiée, le DPAC, sollicitant les super-ordinateurs de six center lapé culisation de cal de 450 spécialistes, explique François Mignard, qui en a été le responsable.

“Sans ce groupe de traitement il n’y a pas de mission”, auto Gaia produit chaque jour 700 milioni di posizioni di stelle, 150 milioni di misure di fotometria e 14 milioni di spettri. Un torrent de données brutes, que des algoritmi “pilotés par des humains”, transforment en mesures utilisables par les astronomi.

Il aura fallu cinq ans pour livrer ce troisième catalog d’observations étalées de 2014 à 2017. Et il faudra attendre 2030 pour en obtenir la version finale, quand Gaia aura fini de scruter l’espace, en 2025.

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