Après le règne de la Leaf, la marque japonaise lancia la Nissan Ariya, son premier SUV électrique qui vient jouer dans un segment concurrentiel.
Voilà douze ans que la Nissan Leaf a vu le jour au Japon. Une des premières voitures électriques, presentato in grande pompa per lo splendente Carlos Ghosn d’alors. La Leaf n’était pas celle qui allait sauver la planète, mais celle qui voulait démocratiser la voiture sans emission.
Colpo d’essai, colpo di shisho pour Yokohama, qui a rapidement rencontré le succès avec sa citadine, toujours considerée comme la plus populaire des électriques avec ses plus de 500 000 exmplaires écoulés à ce jour. Une pionnière, avantagée par l’absence de concurrence directe pendant plus de la moitié de sa carrière, mais qui s’est hélas bien trop reposée sur ses lauriers. L’ainsi fallu attendre plus de dix ans pour voir arriver une seconde génération de voiture électrique chez Nissan, avec le nouveau Ariya. Mais désormais, il n’est pas le seul dans le segment et certes se sont déjà positionnés comme des références.
Uno stile di concept-car
Le Nissan Ariya, qui ouvre un nuovo capitolo dans l’histoire Zero Emissioni de la marque, fait le choix de s’attaquer au segment des SUV routiers. Avec une longueur de 4,60 m, il s’attaque frontalement aux faux jumeaux du groupe Volkswagen avec les Volkswagen ID4 (4,58 m) et le Skoda Enyaq (4,65 m), mais aussi à la Hyundai Ioniq 5 (4,64 m), entre autres propositions surélevées plus grandes de 10 cm (MG Marvel R, Toyota bZ4X…). Bref, un paquet de monde!
Pour y arriver, la Nissan Ariya embarque la plateforme CMF-EV qu’il an inaugurée avec le concept. Una tecnica di base développée par Nissan, partagee au sein de l’Alliance et déjà utilisée par la Renault Megane e-Tech. Du concept-car annunciateur, le nouveau SUV en conserve le style exotique, avec un traitement lisse des surface et sans fioritures. Mais, quels que soient ses sforzi stilistici o aerodinamici, l’Ariya ne peut pas fendre l’air furtivement avec sa silhouette. Côté chiffre, il se stabiliz à un Cx de 0,28, soit autant que l’ID.4.
De par son coup de crayon, c’est la quiétude qu’il inspire. C’est notamment le cas dans l’habitacle, qui se veut tout aussi reposant qu’un salon traditionalnel japonais. La plateforme consente di riattivare le tecniche degli elementi e di fare il posto netto all’interno. Comme son concurrent allemand, l’Ariya présente un plancher plat et brille non seulement par son habitabilité, mais aussi par son impression d’espace qui semble hérité des washitsu.
Comme dans un salon japonais, les shoji en moins
Les matériaux utilisés sur les partys hautes sont de bonne facture, au contraire des plastiques des party basss. C’est ici que se trouvent aussi les kumiko, des motifs mis en lumière qui reprennent tout l’art du travail du bois. Mais les matériaux sont moins flatteurs que du cyprès japonais, forcément. L’intention y est, d’autant que l’éclairage tamisé derrière un faux washi rispetta la tradizione e incontra semplicità en lumière l’obscurité comme le ferait une tradizione Chochin.
Mais comme au Japon, la tradizione convive con la modernità. Et le Nissan ne déroge pas à la règle avec une grande dalle numérique de 12,3 pouces posée devant le Conducteur, o d’autres coquetteries digitalis à l’image des commandes de climatisation sur la console centrale façon bois. C’est beau, mais cela demande du doigté pour sélectionner les funzioni. En dessous, on y retrouve un caisson escamotable électriquement qui peut faire office de rangement ou de repose bento. Mais l’alignement des éléments est perfectible, l’absence de revêtement antidérapant limite son usage et la cinématique est lente. Tout comme le mouvement de la console centrale coulissante, qui permet de libérer encore plus l’espace à l’avant au détriment de la place arrière, où l’éventuel passager devra obligatoirement écarter les jambes. On y retrouve aussi sur cette console le sélecteur de marche et les commandes liées à la conduite, dont la fonction e-Pedal Step.
Tous les passagers auront de la place à bord. À l’arrière, l’empattement de 2,78 m autorizza gli occupanti a più leurs jambes. La position d’assise est correcte, et la découpe de porte n’oblige pas à couber l’échine plus qu’il ne faut. La sweet cube 468 l dans cette configuration mécanique à un seul moteur avant. C’est un peu moins que ses concurrents naturels sur la stricte comparaison des chiffres. Mais elle présente un plancher fractionnable en deux, utile pour atteindre les câbles en dessous. Dommage cependant, la modularité reste basique et il n’y a pas de coffre sous le capot avant. À ce jeu, plateforme MED o CMF-EV, même combat !
Une version d’entrée de gamme juste en autonomie
Nous avons eu l’occasione di prendre en principale la Nissan Ariya dans in versione d’appel avec la configurazione monomotore e la batteria di una capacità di 66 kWh, non 63 kWh utili. Si la marque n’a pas confirmé officiellement le nom du fournisseur, un exemplaire éclaté du SUV affichait des module CATL. L’ensemble est refroidi par un circuito idraulico à la base du pack pour assicurar des meilleures performance, notamment au moment de recharger.
Cependant, ce premier essai a télé effectué en Suède, sur un parcours particulièrement favorevole aux limitazioni de vitesse drastiques. Difficile donc de pouvoir ressortir une autonomie moyenne réaliste quand la plus rapide des autoroutes empruntées ne permettait pas de dépasser les 100 km/h… Nous aurons tout le loisir de le repasser au détecteur de maisonges résumé, attendant en maisonges en SUV moyenne de 16.2 kWh /100 km, quindi près de 390 km d’autonomia.
Une valeur pass si éloignée de la valeur WLTP, la Nissan promettant une moyenne de 403 km dans cette versione. Cela pourrait corrispondere à une consommation sur des route secondaires plutôt favorevolis. Car d’après nos estimas, en se basant sur nos données habituelles, l’appétit du SUV pourrait bien graviter autour des 26 kWh/100 km sur nos autoroutes, soit près de 240 km d’autonomie totale. En tout état de cause, la batterie semble un peu juste pour parfaire la polyvalence de ce grand SUV. Il faudra sans nul doute préférer la version équipée d’une unité de 87 kWh (533 km WTP) pour en profiter correctement en famille.
Une conduite zen à bord du Nissan Ariya
L’auto la Nissan Ariya ha una rapida presentazione delle qualita di viaggio per i suoi viaggi. Là encore, il mériterait de fendre l’air a 130 km/h pour que l’on puisse s’assurer des bruits aerodynamiques, mais ils semblent dans un premier temps assez bien maîtrisés. Un peu mieux en tout cas que les résonances de roulement qui paraissent plus marquées. Mais rien qui ne vient vraiment troubler la quiétude à bord, ou les passagers baignent dans le confort. Bien suspendu et rigoureux lorsqu’il s’agit de canaliser ses 1 984 kg en ordre de marche avec Conducteur, il préfère les rythmes paisibles qu’impose sa direction légère et muette.
Il motore di tipo sincrono a un prodotto permanente da 218 ch (160 kW) per 300 Nm di coppia, in modo da ottenere più vantaggi dalla Renault Megane e-Tech. Les performance sont modeses, avec un 0 à 100 km/h en 7,5 s, une vitesse maximale de 160 km/h et un 80-120 km/h en 5,5 s. Ce n’est pas aussi vif qu’un karatéka, mais c’est dans la bonne moyenne de la catégorie.
C’est sur autoroute qu’il se sent le plus à l’aise, avec la conduite semi-autonome ProPILOT activée, se laissant guider par son planificateur d’itinéraire. I grafici della navigazione n’apparaissent pas aussi modernes que ses autres technologies embarquées, mais les feuilles de route présentées sont complètes: on connaît à l’avance le taux de charge prévisionnel à l’arrivéù les recharge in . En revanche, il ne propone pas de systeme de preconditionnement de la batterie automatiche. C’est au Conducteur de le faire manuellement, en se basant sur les préconisations du constructeur, qui recommande de l’activer 30 minuti prima di ricaricare sous les 10 °C.
Une vitesse de recharge dans la moyenne
En la matière, la Nissan Ariya ne fait pas de fracas. La charge lente est confiée à un système de 7,4 kW en série, et le dispositif 22 kW n’est seulement disponible qu’en option (1 000 €) sur le plus haut niveau de finition. Sur lesbornes rapides, il peut viser une puissance en pic de 130 kW. Nous n’avons pas eu l’occasion d’effectuer un test de charge, mais la marque promet un 20-80% en 28 minuti. Précisons que les due batterie disposent du même nombre de cellules, mais que celles-ci sont donc bien différentes dans l’unité de 87 kWh, senza che il costruttore puisse nous fournir les détails tecniche. Ceci pourrait ainsi expliquer pourquoi la version 87 kWh réclame 30 minutes pour le même exercice et presente une courbe mieux maintenue.
Difficile d’établir une hiérarchie pour l’heure dans ce segment en matière de recharge. Mais nous aurons rapidement l’opportunité d’établir un comparatif entre le Nissan Ariya et ses concurrents en la matière. Chez Skoda, l’Enyaq 60 embarque un système 120 kW DC de série (contre 135 kW sur les 80 et 80 X). Du côté de Volkswagen, il faut prendre una versione Pro (77 kWh) per il benefico di un caricatore di 135 kW avec la récente mise à jour. À ce title, Nissan nous a confirmé qu’aucune mise à jour de la puissance de recharge n’est prévue pour le moment. Voilà qui incontrato un colpo di stato kaizenpourtant cher à Yokohama… Enfin, difficile d’évoquer la Hyundai Ioniq 5 qui prend le large avec sa plateforme e-GMP 800 V et ses ricarica canoni.
Essai Nissan Ariya : il bilan
Nissan avait pris une longueur d’avance avec la Leaf. Se reposant sur ses acquis, la marque s’est fait prendre de court par les concurrents qui déambulent déjà dans un segment qui va vite se remplir. Difficile pour l’Ariya de se démarquer, d’autant que les caractéristiques de cette version d’accès demeurent dans la moyenne du segment, tant en termes d’efficience que de polyvalence.
Mais pour mieux se faire une place, il se présente avec un style exotique (c’est subjectif), un habitacle ultra-spacieux et une présentation soignée, malgré quelques ajustements perfectibles sur ces premiers modèles. Mais il arrive aussi avec deux seuls niveaux de finition pour épurer la gamme, qui mettent le paquet en matière d’équipements. Il ne reste plus que quelques options cosmétiques à choisir, ainsi que le chargeur 22 kW. En bref, la proposition est plaisante. Mais est-ce suffisant pour se calquer sur la carrière de la Leaf ?
Rien n’est moins sûr, sachant que son prix d’appel fixé à 47 300 € fait voler en éclat tout espoir de bonus écologique maximal. Pour en bénéficier, il faudra donc recourir à une offre LLD et lancer une discussioni avec un vendeur qui serait normalement ouvert aux négociations.
- Ambiance intérieure plaisante
- Abitabilità apprezzabile
- Confort di condotta
- Ricarica 22 kW AC in opzione
- Prix d’appel haut perché
- Circonscritta di polivalenza