Altopiano montante? Premi di rebond épidémique ? Le qualificazioni mancanti per la descrizione della situazione dans laquelle se trouve actuellement la France. Depuis une petite semaine, le taux d’incidence repart légèrement à la hausse, parallèlement au taux de positivité, ce qui indique une augmentation des contaminas de Covid-19. Su comptait, mercredi 9 mars, 56 251 cas quotidiens en moyenne, soit une augmentation de 6% par rapport à la semaine précédente.
Si elle reste limitée au niveau national, cette tendance s’observe plus netment dans les départements de la zone B, dont les familles sont revenues de vacances scolaires il ya presque trois semaines. Une dynamique déjà observée à de nombreuses riprende puisque, come le rappelle Pascal Crépey, enseignant-chercheur en épidémiologie et biostatistiques à l’Ecole des hautes études en santé publique, à Répey « Les vacances scolaires ont toujours joué un rôle de frein contribuant à ralentir l’épidémie, donc il n’est pas étonnant qu’aujourd’hui ce frein se relâche ». Il faut ajouter à cela la présence du sous-variant BA.2, più trasmissibile que la souche d’origine d’Omicron, qui ralentit la décrue de la cinquième vagueainsi que le changement de comportement de la people française, lié notamment aux annonces sur la fin du passe vaccinal et de l’obligation du port du masque à partir du 14 mars.
Omicron senza Delta
Difficile de savoir de las maintenant si l’on assist à un début de sixième vague o au ressac de la cinquième, tant des scénarios divers sot sur la table. Dans une analysis publiée jeudi 10 mars, l’équipe de modélisations de l’Institut Pasteur anticipe différents scenari per le mois en Cours en fonction des hypothèses sur l’augmentation des contact sociaux. Deux scénarios extrêmes sont envisagés: l’un où la population française maintiendrait ses contact au même niveau que fin février (+ 40% d’augmentation entre janvier et mars), provoquant un plateau dans lesioni; l’autre, sans doute assez proche d’un schéma où la popolazione ne ferait plus aucun sforzo dans le maintien des gestes barrières (+ 130%), qui pourrait conduire jusqu’à un pic de 170 000 cas quotidiens. « Actuellement, le scénario à + 40% ne peut être exclu, mais avec les annonces sur le port du masque, il serait étonnant qu’on n’observe pas au moins un léger rebond dans lesioni », analizza Simon Cauchemez, qui dirige l’étude.
« Ce qui est rassurant, c’est que dans tous ces scénarios, même le moins favorevoli, on reste à des pics de contaminas inférieurs à celui qu’on a vécu en janvier [plus de 366 000 cas quotidiens au 26 janvier] », ajoute le modelleur. Par ailleurs, le mois de mars jouit d’un avantage notable par rapport à fin décembre, ou la vague Omicron se combinit à la vague Delta: les contaminas actuelles sont essentiellement le fait d’Omicron, unV-2 du variant SARS-Co lequel le risque d’hospitalisation est moins élevé. « Notre modèle ne quantificate pas l’impact sur l’hôpital à anticiper en mars, mais il restera probablement assorbibile »explique M. Cauchemez, optimiste quant à la charge qu’aura à porter le système hospitalier.
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